Le Point publie une tribune signée par un collectif de médecins et d’intellectuels contre les délires du Planning familial. Cela fait longtemps que nous dénonçons la culture de mort financée par nos impôts, à travers la propagande du Planning familial. Mais c’est nouveau que des personnalités en vue, comme Élisabeth Badinter, Pierre-André Taguieff, Israël Nisand, Didier Sicard, Jean-François Mattei, Brice Couturier, Anne-Marie Le Pourhiet,…, se mettent à le dénoncer à leur tour :
C’est avec le plus grand sérieux que le Planning familial, organisme d’éducation populaire, nous assène des absurdités scientifiques. D’abord il y a eu cette campagne d’affichage : deux hommes enlacés, le ventre de l’un d’eux présentant une étrange rotondité. Et au-dessus cette légende : « Au Planning, on sait que des hommes aussi peuvent être enceints. » Qu’importe l’impossibilité biologique. Ensuite, il y a eu le lexique trans du Planning familial, « lexique rangé dans l’optique d’un apprentissage progressif ». Petit florilège.
« Sexe : Construit social basé sur des observations moyennes des différences biologiques entre les genres. Il est communément admis scientifiquement que le sexe est un spectre. Peut également désigner l’appareil génital.
Assignation à la naissance : À la naissance, les médecins décident, selon des normes de longueur du pénis/clitoris, si l’individu est un garçon ou une fille.
Changer de sexe : Les caractéristiques sexuelles de personnes, qu’elles soient cis ou trans, ne sont pas binaires et peuvent changer tout au long de leur vie ».
Nous serions heureux de connaître la « science » qui admet que chez l’Homo sapiens le sexe est un spectre. Il y a probablement confusion avec les crépidules ou autres animaux changeant naturellement de sexe au cours de leur vie. Nous serions également heureux de connaître la longueur critique de l’organe sexuel permettant de différencier un garçon d’une fille.
Le Planning familial ne sait pas distinguer, depuis longtemps, un amas de cellules d’un être humain… Néanmoins, les signataires, qui ne remettent pas en cause l’avortement, dénoncent les subventions astronomiques perçues par le Planning :
Car le Planning est un organisme financé par l’État et les diverses collectivités à hauteur de 2,8 millions d’euros par an. C’est-à-dire financé par le contribuable. À l’heure où il est nécessaire de contrôler des dépenses publiques surabondantes, il est urgent de conditionner les subventions du Planning familial au respect strict de ses orientations et finalités originelles.
Australe
Le montant des subventions aux associations représente plus de 100 milliard d’euros qui les contrôle?
Le planning familial vit de ces subventions sans
rendre de compte , stop a ce gaspillage.
On nous parle d’écologie a tout bout de champs, commençons par respecter la nature humaine et ne tuons pas.