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Culture de mort : Idéologie du genre

Et si vous êtes une boîte de conserve, vous pouvez répondre aussi

A l'Université de Bordeaux, une équipe de recherche sous la direction de Eric Dugas, directeur du Département de Recherche en Sciences humaines et sociales et chargé de mission handicap à l’Université de Bordeaux a mis une enquête en ligne à destination de tous les professionnels travaillant dans l’enseignement supérieur (université, BTS, IUT, grandes écoles, etc…) en Nouvelle Aquitaine et en Île-de-France.

Cette enquête, investiguée par le Laboratoire LACES (Laboratoire Cultures – Education – Sociétés) s’inscrit dans un projet de recherche financé par le Fonds Social Européen et a pour but de rendre compte des besoins et attentes individuelles des personnels de l’enseignement supérieur en interaction avec les étudiants de leur établissement, dont notamment les étudiants à besoins spécifiques (situation de handicap et maladie).

A la fin du questionnaire, voici ce que l'on trouve comme question :

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12 commentaires

  1. Un droïde

  2. Moi, je suis un shadock.
    Ni une femme ni un homme.

  3. Tous ces professionnels travaillant dans l’enseignement supérieur ont perdu le contact avec la nature.
    Ici à la campagne, on voit qu’à chaque naissance (d’un être humain ou d’un animal) en sort soit un de sexe masculin, soit un de sexe féminin.
    Évidemment, toutes les vaches qu’on isole dans un pré sans jamais la présence d’un taureau, vont avoir un comportement contre-nature. Elles vont se monter les unes sur les autres :
    https://effondrements.files.wordpress.com/2013/05/vaches_en_chaleur.png
    Serait-ce cela le troisième sexe ? A mon humble avis de campagnard, cette vache est née du sexe féminin, mais son mode de vie déviant l’a rendue ainsi. Il serait peut-être temps d’envoyer tous ces soi-disant professionnels au champ. Ils semblent eux aussi complètement déboussolés. Qu’ils regardent ce documentaire à partir de 23 mn,
    https://www.youtube.com/watch?v=has00VPtAj8
    ils comprendront comment l’homme déforme la nature : il faut savoir que 90% d’entre elles sont inséminées artificiellement. Et le taureau à qui on prend le sperme, monte lui aussi sur un boeuf (et non une vache car trop fragile).
    Etonnant non ? 90% du sperme utilisé vient d’un rapport homosexuel. L’être humain adore contrecarrer la nature.

  4. Vu la stupidité des dernières questions, on se demande bien ce que peut valoir ce genre de pseudo questionnaire.

  5. “un projet de recherche financé par le Fonds Social Européen”
    C’est bien l’Europe qui propage les déviances. Mais les Français ne veulent pas d’un frexit, d’où ce genre d’enquête universitaire. Comme quoi, l’enseignement supérieur n’a rien de scientifique… il est idéologique.

  6. “investiguer”, “chargé de mission handicap”, enquête en ligne à destination”,”nouvelle aquitaine”,”s’inscrit dans”,”en interaction avec”,”étudiants à besoin spécifique”… j’en passe et des meilleures.
    c’est un concours de pipotron ou quoi ? comment parler la même langue avec un volapük pareil dans la bouche et sous la plume de ces sachants là ?
    leur philosophie passe par cette langue corned beef, ce hachis administratif, abscons et tellement prétentieux. il faut refuser ce galimatias dès que possible, parler bistrot, n’importe quoi.
    les boîtes de conserves en ont raz le bord, de la pensée corned beef. La pseudo théorie du genre c’est du hachis, à peine du code, pas de la littérature, dehors les robots !

  7. A isabelle
    Peut être que là, un sanguinaire Pol Pot serait nécessaire pour nettoyer les écuries “universitaires”. N’a-t-il pas vidé la ville de Phnom Penh de ses habitants et envoyé tous les intellectuels travailler dans les champs ?
    https://effondrements.files.wordpress.com/2013/04/phnom_penh_15_03_1979.jpg
    Le bon sens paysan semble manifestement manquer à ces intellectuels de pacotille. Au contact de la nature, on sait qu’un vagin n’est pas un anus. Qu’un troupeau de vaches dans un pré, longtemps éloigné des taureaux, peut se mettre à avoir une posture « homo » ! Et comme l’être humain est à la base un mammifère, qu’est-ce qu’il y a d’étonnant à ce qu’il ait un comportement quelque peu semblable aux vaches, si sa raison n’y met pas bon ordre. L’homme est né pour l’altérité et non pour se couper de la moitié de la population. L’anormal est bien celui qui n’aime pas l’autre sexe. Et non le contraire.

  8. Edifiant.

  9. “90% du sperme utilisé vient d’un rapport homosexuel. L’être humain adore contrecarrer la nature.” dites vous Isabelle !
    Que constate-t-on ? On ne vend plus que des graines infertiles. Car cela rapporte plus aux multinationales de l’agriculture.
    Il est fort probable que dans la societé actuelle où les états ne représentent plus que des bandes de criminels, puisqu’ils ne défendent plus le bien commun, on en arrive à stériliser les hommes
    https://www.acadienouvelle.com/etc/sante-mieux-etre/2017/07/26/les-hommes-des-pays-occidentaux-deviennent-steriles/
    ou à les rendre homo afin de développer au maximum les fermes aux mille femmes (liées aux fermes aux mille vaches par leur lait).
    Si un bébé naissant dans ces fermes coûte 10 000 euros, quel serait le potentiel de chiffre d’affaire de ces labos ? En 2016, 785 000 bébés sont nés en France. En les multipliant par 10 000 € on arrive à presque 8 milliard. De quoi corrompre de nombreux universitaires peu scrupuleux.

  10. A toto
    “L’évolution de la problématisation de l’homophobie au Chili”
    Pourquoi ne pas faire une conférence sur :
    “L’évolution de la problématisation de la gynécophobie et de l’androphobie au Chili”
    Androphobie – Peur de l’homme (sexe masculin).
    Gynécophobie – Peur ou rejet des femmes.
    Car en fait, qui participe à cet institut du genre sinon des personnes souffrant de l’autre sexe ?

  11. Ce n’est pas aussi stupide que cela puisse paraître étant donné qu’il existe un robot citoyen saoudien.

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