A Peyrins (Drôme), l'église St Ange, classée aux Monuments Historiques, accrochée sur les hauteurs de la commune a été la cible de de tags. Des bombes de peinture de couleur noire ont été utilisées afin d'inscrire sur les murs en molasse de l'édifice des messages personnels ou injurieux, notamment envers la police. Alain Paret, maire de Peyrins, s'insurge :
"Le bâtiment religieux et une ancienne tombe ont été tagués. C'est ignoble ! C'est presque une profanation ! C'est un acte gratuit, qui va coûter cher à la commune. Aussi, dans l'après-midi, nous sommes allés déposer une plainte contre X à la gendarmerie de Romans".
abbadon
“presque” une profanation, intéressant point de vue.
Marie
Qu’en pense l’Episcopat français?
yiannis
Bonne question de Marie.
Il est pour le moins paradoxal que, dans la majorité de ces situations, l’Episcopat français se manifeste par un silence assourdissant.
PRIEUR
Nos évêques ont bien d’autres occupations que de s’occuper de tags sur les églises. Le “mien” ayant entendu parler du”Jésus de Morteau” est allé dimanche dernier dans cette sympathique petite ville de Morteau y célébrer une messe le jour de la fête de la saucisse. Véridique.
Mike
Ce n’est pas une mosquée, sans intérêt donc …