L’administration Biden poursuit sa guerre contre la vie en transformant la loi sur l’équité pour les travailleuses enceintes en un texte qui oblige les employeurs à faciliter l’avortement. Même contre leur conscience.
Un amendement de la Commission pour l’égalité des chances en matière d’emploi inséré dans le Pregnant Workers Fairness Act (PWFA), « une loi pro-vie qui protège la sécurité et la santé physique des femmes enceintes et de leurs enfants à naître », a déclaré Mgr Kevin Rhoades, président du Comité pour la liberté religieuse de la Conférence des évêques catholiques des États-Unis, obligerait les employeurs, y compris ceux d’organismes d’inspiration religieuse, à donner des jours de congés à leurs employées pour qu’elles puissent se faire avorter.
Mgr Rhoades a ajouté :
« Il est indéfendable que la Commission pour l’égalité des chances en matière d’emploi déforme la loi d’une manière qui viole la conscience des employeurs pro-vie en les obligeant à faciliter les avortements. Aucun employeur ne devrait être contraint de participer à la décision d’une employée de mettre fin à la vie de son enfant ».
L’année dernière, la conférence épiscopale américaine a formulé quelques commentaires sur cette loi :
« L’intention de la PWFA est de fournir des conditions de vie pour [les raisons suivantes] : “grossesse”, “accouchement” et “conditions médicales associées”. En d’autres termes, il s’agit d’aider les travailleuses enceintes et les travailleuses qui donnent naissance à un enfant en leur fournissant des aménagements qui leur permettront de continuer à exercer un emploi rémunéré pendant leur grossesse et de rester en bonne santé ». « L’avortement n’est ni une grossesse ni un accouchement. Et il n’est pas « lié » à la grossesse ou à l’accouchement […] parce qu’il interrompt intentionnellement la grossesse et empêche l’accouchement ».
En bref, une loi pro-vie, entre les mains des partisans de Biden, veut devenir une loi pro-avortement.
Sicéron
C’est bien que les évêques commentent, mais qu’attendent-ils donc pour l’excommunier et lui refuser publiquement la communion ?
colcombet
tout à fait.
Nous sommes dans un monde manchots.
La Police fait connaissance avec les délinquants mais ils sont relâchés. Les évêques défendent soit disant la vie des enfants à naître mais n’excommunie pas ceux qui favorisent la mort de ces enfants et même ils vont parfois recommander de voter pour eux. Tout cela parce qu’il ne faut pas déplaire
Haizkolari
On vient de me raconter la chose suivante sur l’avortement aux USA. Je souhaite avoir votre avis.
Les partisans de l’abolition de l’avortement seraient des trumpistes issus d’Églises évangélistes qui sont opposés à ce que les enfants des familles pauvres qui ont échappés à l’avortement reçoivent des aides sociales, des aides pour leur scolarité, etc..
Bref, on ne veut pas qu’ils soient avortés, mais après qu’ils soient nourris convenablement.
Qu’en est il ?
Ce refus des aides sociales pour les pauvres est il caracteristique des anti-avortement ?
Il me faut des éléments précis et fondés, s’il vous plaît. Pas juste de simples indignations.
Gaudete
Tiens le vieillard cacochyme s’est transformé en nazi ou en stalinien, au choix, bonnet blanc et blanc bonnet, et dire que Bergoglio fait des mamours à ce vieux givré! ça nous laisse pantois! il faut l’excommunier et en vitesse. A-t-il besoin du sang des bébés avortés pour ce régénérer, ce vieux débris ?