Le co-fondateur de "40 Days for Life", David Bereit, a stupéfait les centaines de jeunes présents à la Conférence pour les jeunes de la Coalition de la Campagne pour la Vie, qui a lieu chaque année le lendemain de la Marche canadienne pour la Vie, avec l'histoire d'une ancienne clinique d'avortement. En 2004, il a été amené à visiter une ex "usine" d'avortement dans le Michigan. Les résidents ont expliqué que le bâtiment était à l'origine une synagogue juive, puis plus tard une église orthodoxe grecque, mais a finalement été transformé en un établissement d'avortement. Ainsi, le lieu où Dieu avait été honoré, dit-il, était devenu le plus important centre d'avortement dans l'ouest du Michigan. Plus de 20.000 bébés y furent avortés.
Après plusieurs années de prière et de tentatives d'acheter le bâtiment, les chrétiens locaux concernés n'avaient pas encore réussi. Enfin, cependant, en 2004, les propriétaires de l'immeuble le leur vendirent au prix fort; ils ont immédiatement expulsé l'avorteur. Lorsque les nouveaux propriétaires firent leur première entrée dans le bâtiment après en avoir pris possession, cinq jours s'étaient passés après le dernier avortement en cet endroit. Pendant la visite du lieu, Bereit affirme avoir été saisi par l'horrible réalité de l'avortement et le fait que 20 000 vies innocentes aient été prises dans la salle même où il se trouvait.
Les nouveaux propriétaires lui racontèrent cette curieuse histoire: après avoir pris le contrôle du bâtiment et expulsé l'avorteur, ils réunirent les dirigeants pro-vie et chrétiens pour prier. Ils commencèrent à prier à l'endroit où l'avorteur entrait dans le bâtiment – une entrée arrière de ruelle qui était fermée par une large porte boulonnée en métal. Le groupe se trouvait dans un cercle en se tenant les mains et priait pour que Dieu nettoie le lieu du mal qui s'y était passé. À l'issue de la prière, à l' "Amen" d'un pasteur, cette porte boulonnée en métal s'ouvrit et claqua contre le mur extérieur et les personnes présentes sentirent un flot d'air sortir. Quelques secondes plus tard ils ont senti une brise fraîche entrant en douceur.
Tandis qu'ils restaient là, une voisine vint leur demander ce qui est arrivé à la statue d'un démon, qu'elle avait remarqué depuis des années sur le haut de l'immeuble. Elle a dit qu'elle avait remarqué ce jour-là sa disparition. Autant que l'on sache, il y avait jamais eu de statue, mais la sincérité de la femme conduisit le groupe à croire qu'en effet, elle en avait vue une sur le bâtiment. C'était, dirent les Pro-vie à David lors de sa visite, un "transfert de propriété spirituelle." Notant l'héritage chrétien du Canada, Bereit conclut aux jeunes canadiens, qu'est nécessaire aussi au Canada, un "transfert de propriété spirituelle." Ce bâtiment de la rue Ransom abrite aujourd'hui un centre d'information pro-vie appelée Life International. (merci à DL pour la traduction de l'article de Lifesitenews).
Marc
Il me semble à lire cette histoire que ce n’était pas une statue… mais le démon lui-même qui veillait sur ses sectateurs et leurs offrandes.
oliv85
pourquoi pas mais bon … n’oublions pas que cela est raconté par des américains !
Abbé Lelièvre
la puissance de la prière !
Saint Michel Archange…
Martin
Ce que je retiens c’est que le Temple de Dieu, de notre Dieu, le Dieu d’Abraham a été abandonné d’abord par nos Frères aînés dans la foi puis par nos Frères orthodoxes et que ensuite c’est l’Etre humain (dans sa fragilité précoce d’enfant à naître), lui aussi, Temple de Dieu qui y a été détruit.
Tout se tient.
L’argument des évêques destructeurs d’églises disant qu’ils préfèrent les “pierres vivantes” (le peuple de Dieu) aux “vieilles pierres” (des bâtiments) ne tient pas.
bébert
j’aime beaucoup vos histoires
de toute façon, je suis sur le chemin de la conversion
mais ça va durer encore un certain temps
il y a peu, j’étais à la campagne, et la nuit j’ai revé d’un pretre qui m’appelait
Ghalloun
Quelqu’un disait que l’acte de l’avortement constitue un véritable rite, dans la façon dont il est réalisé.. Un rite sataniste, donc.
Lucie S.
Erreur dans l’article précédent sur DSK.Vous avez écrit”prêtre genevois” au lieu de “génois”.Les Suisses apprécieraient que vous corrigiez.Merci.
lève-toi
bébert
La prière est un acte capital dans la conversion, Charles de Foucault désirait savoir si Dieu existait, il se laissait enfermer la nuit dans une église de Paris et priait ainsi : ” Mon Dieu , si vous existez faites le moi savoir”.
Un jour sa cousine Melle de Bondy l’emmena dans une réunion familiale où se trouvait un prêtre âgé et malade, le Père Huvelin, de Foucault se mit à discuter avec lui , et, discutant de philosophie, le Prêtre lui dit : ” Vous savez, c’était écrit dans le livre que vous lisiez avant-hier”.
Interloqué, de Foucault va vers sa cousine et lui dit : ” Ton curé, il sent le soufre, comment sait-il que je lisait un certain livre avant hier ?”.
Elle lui répondit : “Il est un peu comme le curé d’Ars qui lisait dans les consciences”.
Quelques jours plus tard, il alla à l’église où le Père Huvelin confessait, il entra dans le confessionnal et dit ” Monsieur l’abbé je viens pour discuter avec vous “. L’abbé lui dit : “mettez-vous à genoux et commencez votre confession”..”Je ne suis pas venu me confesser, mais discuter avec vous”…”et moi je vous dis de commencer votre confession”…et de Foucault commença sa confession, et à mesure la Foi lui venait si bien qu’il n’avait plus de doute sur Dieu.
Êtes-vous à jeun” ?…”Oui”..”Alors je vais vous donner la communion”.
De Foucault devint prêtre, et mourut comme il le désirait : ” Douloureusement tué au Sahara”.
Tout comme St Paul, Alphonse Ratisbonne et d’autres, il reçut cette grâce insigne de la conversion soudaine.
La prière personnelle , ou celle des autres (Ratisbonne) est d’un secours indispensable.