Un responsable européen a déclaré qu'il nourrissait de sérieux doutes quant à la conclusion d'un accord de l'Union européenne sur le sauvetage de la zone euro au sommet de Bruxelles de mercredi soir. Les 10 des 27 membres de l'UE qui n'ont pas adopté l'euro ne veulent pas d'une recapitalisation des banques sans accord sur le renforcement du Fonds européen de stabilité financière (FESF). Aucune réunion des ministres des Finances n'était prévue avant le sommet des chefs d'Etat et de gouvernement, ce qui renforce les doutes quant à la perspective d'un accord.
Les discussions se concentrent sur la révision du second plan de sauvetage à la Grèce décidé lors du sommet du 21 juillet. Pour faire face à un risque de défaut de paiement de la Grèce, l'UE préconise de relever dans les mois à venir le ratio de fonds propres "durs" des établissements bancaires. Les négociations sur le renforcement de la force de frappe du FESF ne sont pas terminées. La France, qui voulait le transformer en banque pour qu'il puisse emprunter massivement auprès de la BCE, a dû renoncer face à l'opposition de l'Allemagne. De ce fait, les gouvernements de la zone euro risquent de devoir toujours compter sur le rôle de pompier de la BCE pour soutenir les pays fragiles comme l'Italie et l'Espagne. L'institut monétaire, qui change de président début novembre, acceptera-t-il ?
Les partenaires européens de l'Italie ont demandé à Silvio Berlusconi de venir mercredi avec un plan détaillé sur ses engagements en matière de réduction du déficit et de réformes économiques. En échange la zone euro est prête à proposer à Rome le soutien du FESF pour racheter de la dette publique italienne sur les marchés et empêcher que les taux obligataires ne grimpent trop.
François Fillon a prévenu :
"Si le sommet était un échec, cela pourrait faire basculer le continent européen vers des terres inconnues".
Les terres de la souveraineté nationale et monétaire ?
En attendant, certains annoncent déjà l'annulation du sommet, faute d'accord.
l'anarcho
C’est le début de la fin de la faillite des Etats… Vatican a raison, la fin de la démocratie approche vers des troubles sociaux…
senex
un G vain de plus…Pas de panique,on en a vu d’autres.La seule faillite grave,c’est le péché mortel.Soyons donc prêts à toute éventualité.Le Bon Dieu a besoin d’une nouvelle génération pour faire refleurir l’Église dans un monde plus propre.Patience et confiance.Il a son plan pour chacun d’entre-nous
Papon
A question simple reponse courte : NON.