Jeanne Smits revient sur la jeune Belge qui avait obtenu au printemps l’autorisation de se faire euthanasier en raison de « souffrances psychiatriques intolérables ». Elle s’appelle en réalité Emily. A 24 ans, en excellente santé physique, elle avait derrière elle une vie de désespérance, de dépression profonde et de fréquents épisodes d’automutilation :
"En fait, l’histoire se termine bien. Emily, à la dernière minute, a choisi de vivre.
C’est une bonne nouvelle. C’est une jeune vie sauvée. On peut espérer que la jeune femme va pouvoir vivre une nouvelle vie, sans ce mal qui la rongeait."
Mais son histoire est utilisée à des fins de propagande en faveur de l'euthanasie.