Le Cardinal Barbarin déclare, à propos de l'euthanasie :
"Dès que la loi ne condamne plus, on la voit basculer dans l’approbation. L’exemple de l’avortement est clair. Il y a 35 ans on l’a « dépénalisé », et aujourd’hui, il est considéré comme un droit. […]
Y-a-t-il vraiment une victoire de la vie sur la mort, de l’amour sur nos souffrances ? Je me rappelle le cri de ce médecin, lors d’une assemblée paroissiale, devant 400 personnes. Il nous a raconté qu’il avait accompagné la femme d’un de ses confrères dans sa lutte contre le cancer. Et quelques jours plus tôt, alors que la situation était devenue sans espoir, il avait mis fin à ses souffrances. Alors, il s’est mis à hurler : « Est-ce que vous me comprenez ? ». Un grand silence a suivi, et j’ai d’abord invité à prier pour les médecins ; je ne suis pas sûr qu’on le fasse souvent. Puis j’ai répondu : « Bien sûr que je vous comprends ! Mais vous vous êtes adressé à moi en criant ; cela signifie que vous ne vous ne vous approuvez pas vous-même. Vous auriez aimé accompagner votre amie jusqu’au bout… Et cela provoque en vous une révolte, que tout le monde comprend. » Il faut pouvoir dire qu’en ouvrant la voie de l’euthanasie, on fait courir des risques à ceux qui sont dans une situation, ou seulement dans un moment difficile. C’est toute la société qui serait en danger. La vie est notre plus beau trésor, mais il est fragile. Ne nous laissons pas prendre au piège d’une bonté qui serait une fausse compassion, et qui constituerait en fait une grave démission. »"
Bertrand
Protocole de Toronto ( extrait )
Toutes les périodes historiques ayant mené à la décadence des civilisations étaient toutes marquées, sans exception, par “L’Esprit d’Errance des Hommes”.
Décevons la jeunesse des Nations en lui montrant ses parents comme étant irresponsables, irreligieux, immoraux, ne cherchant en définitive que le plaisir, l’évasion et la satisfaction effrénée de leurs instincts au prix du mensonge, de l’hypocrisie et de la trahison.
Faisons du divorce et de l’avortement une nouvelle coutume sociale acceptée par tous.
Poussons-la ainsi à la criminalité sous toutes ses formes, et à se réfugier en groupes distincts, hors d’atteinte du milieu familial qu’elle percevra, inévitablement, comme étant une menace pour sa propre survie. Le tissu social étant ainsi bouleversé à jamais, il nous sera dès lors possible d’agir sur le Politique et l’Économique des Nations afin de les soumettre à notre mercie pour en venir à accepter de force nos Plans d’un Nouvel Ordre Mondial.
Aujourd’hui, nous devons faire en sorte que cet “Esprit” se traduise par une “Société Mondiale du Loisir” sous toutes ses formes. Ce “Loisir” doit se composer du [Sexe], des [Drogues], du [Sport], des [Voyages/l’Exotisme], et des [Loisirs] en général, mais accessibles à toutes les couches de la Société.
L’Homme doit arriver à croire qu’il est “Moderne”, et que sa modernité est composée de sa capacité, et de sa possibilité de pouvoir jouir largement, et maintenant de tout ce qui l’entoure.
Pour parvenir à cet objectif, il est impératif de pouvoir infiltrer les Médias (Radio, Télévision, Journaux), les milieux de la “Mode” et la “Culture” (les milieux de la Nouvelle Musique) par lesquels nous influencerons, à coup sûr, toutes les couches des Sociétés Occidentales.
Ainsi en tenant sous la coupe des “Sens” la jeunesse (les adultes de demain), nous aurons par conséquent la voie libre pour infiltrer, et transformer en profondeur, sans être inquiétés, le Politique, le Système Légal et l’Education; ce qui nous permettra de modifier en profondeur le cours, l’orientation future des Sociétés visées par notre “Plan”.
Les populations, nous le savons, n’ont pas de mémoire historique. Ils répètent inlassablement les erreurs du passé sans se rendre compte que ces mêmes erreurs avaient conduits leurs pères, avant eux, aux mêmes déchéances qu’ils vivront en pire avant la fin de ce siècle.
Voyez, par exemple, ce que leurs grands-pères ont vécu au début de ce siècle grâce au travail acharné de nos prédécesseurs. Après avoir connu, sans limites, la libération des moeurs, l’abolition de la morale (en d’autres mots, l’errance de l’esprit), ils expérimentèrent la “Crise Economique”, puis la “Guerre”. Aujourd’hui leurs petits-enfants et leurs enfants se dirigent droits vers un aboutissement semblable, pire encore car cette fois-ci, il nous permettra enfin de mettre sur pied notre “Nouvel Ordre Mondial” sans qu’aucun d’entre eux ne soient à même de s’en rendre compte, trop préoccupés qu’ils seront tous à satisfaire exagérément leur besoins sensuels les plus primaires.
PK
Les mots employés ont une signification.
De même que l’on évite (on = les pro-morts) de parler d’avortement, on parle de « mettre fin aux souffrances ».
Pourquoi ne pas dire tuer tout simplement ?
On ne « soulage » rien du tout. On tue.
Et comme le dit Mg Barbarin, le soulagement est beaucoup plus attendu du côté du tueur que du tué…
Bertrand
Un dame qui me disait ” moi suis pour l’avortement ” et je fuis tout ce qui vient de l’Eglise puis au fil de la conversation elle demande si je n’avais pas une prière pour son mari mort qui était athée
je l’ai répondu qu’avec Dieu on ne peut être un coup dedans et un coup dehors
il faudra faire un tri dans votre conscience
je lui rappellait ses paroles de Dieu
2 Tm 2, 8.11-13
si nous sommes morts avec Lui, avec Lui nous vivrons. Si nous supportons l’épreuve, avec Lui nous règnerons. Si nous Le rejetons, lui aussi nous rejettera. Si nous sommes infidèles, Lui, Il restera fidèle, car Il ne peut se rejeter Lui-même.
Avez-vous été fidèle ou infidèle quand même ?
ni l’un ni l’autre me répondit -elle
là on ne puis vous soigner contre votre volonté
triste mais fréquent
fds
Merci d’avoir ajouter un lien pour une pétition contre l’euthanasie. Ainsi nous avons la possibilité de montrer notre opposition à cette pratique qui comme l’a bien exprimé le Cardinal Barbarin est une fausse compassion.
Par contre, pourriez-vous nous tenir informer des suites de la pétition (nombre de signataires, soutien de personnalités, ou coordination en vue d’actions comme une manifestation).