Dans un entretien au Figaro, mercredi 3 mai, François Bayrou exprime ses réserves à l’idée d’un changement du cadre législatif régissant la fin de vie.
« Nous avons une loi pour accompagner ce passage vers la mort, mais ne faisons pas un service public pour donner la mort ». « La loi [actuelle] prend en charge humainement les situations les plus critiques. Elle n’est pas appliquée, appliquons-la »
Pour lui, « l’urgence » est d’abord « de mailler le territoire d’unités de soins palliatifs ».
lefleuriste
Le titre de l’article est exagéré.
Le gouvernement ne perd pas le soutien de Bayrou, ce dernier a simplement émis des réserves. François Bayrou monnaye son ralliement à Macron à intervalle régulier. Il se couchera quand il estimera avoir eu une contrepartie suffisante.
Son poste de haut-commissaire au plan l’ennui peut-être et il sent que c’est le moment de mettre un coup de pression histoire de viser un poste de premier ministre si remaniement il y a après les 100 jours du marathon Bornstein.
Moi
Les seules valeurs qui intéressent Bayrou, sont celles qui peuvent lui rapporter un poste !