Le Premier ministre Sébastien Lecornu a annoncé hier devant le Sénat que ses ministres disposeront d’une “liberté de parole totale” lors des débats sur la fin de vie, estimant que ce texte “touche à l’intime” et doit être “mené jusqu’au bout”.
Deux propositions de loi, sur les soins palliatifs et sur la création d’une aide à mourir, doivent être examinées par le Sénat, sans date arrêtée, sans doute après le budget.