Le projet de loi du gouvernement sur la fin de vie a été profondément remanié par la commission parlementaire. Les fameuses lignes rouges encadrant (strictement. Sic) l’euthanasie ont été supprimées : suppression de la notion de maladie incurable, création d’un délit d’entrave…
Le Premier ministre Gabriel ATTAL a indiqué hier dans “La Tribune Dimanche” que le gouvernement s’opposerait lors de l’examen du texte en séance, qui doit débuter aujourd’hui, à la nouvelle version du projet de loi sur l’accompagnement de la fin de vie issue de son examen en commission.
“Les conditions sont strictement encadrées : être majeur, français, en capacité d’exprimer son choix avec discernement jusqu’a la dernière étape, être atteint d’une maladie grave et incurable avec un pronostic vital engagé a court ou a moyen terme et des souffrances physiques ou psychologies réfractaires aux traitements”.
En remplaçant la notion de “pronostic vital engagé a court ou moyen terme” par une “phase avancée ou terminale de la maladie”, la version de la commission spéciale “peut conduire a inclure de nombreuses pathologies non mortelles qui sortent de la philosophie du texte. Le gouvernement proposera donc d’y revenir”, indique M. ATTAL, qui entend maintenir
“l’équilibre issu des longs mois de concertation et des travaux de la convention citoyenne”.
Le débat au sein de l’assemblée risque de se limiter au maintien de ces fameuses limites, encadrant l’euthanasie, limites qui finiront par être abrogées, tôt ou tard, comme sur l’avortement.
Or la vraie limite c’est d’ouvrir ou non la porte au crime de l’euthanasie, qu’on l’appelle suicide assisté ou autre. L’équilibre c’est de renforcer les soins palliatifs et de refuser l’euthanasie. Les élus du Parlement sauront-ils ne pas se laisser berner par le faux débat qui leur est proposé ?
C.B.
Je suis presque étonnée qu’aucun “start-uper” n’ait eu l’idée de concevoir un robot-injecteur, avec comme argument (“l’argument qui tue” ?) qu’un tel dispositif innovant permettrait de préserver l’objection de conscience des personnels qu’on envisage de contraindre à exécuter ces assassinats.
Garde67
Il est illusoire de penser que, sur le sujet du moment : l’euthanasie et le suicide assisté, un quelconque encadrement soit inscrit dans la loi.
Un peu d’histoire :
La “libéralisation” de la contraception a conduit à l’avortement de masse, désormais inscrit comme “droit” fondamental dans la Constitution.
Le PACS a ouvert la porte au “mariage” homosexuel qui a entraîné la PMA et la GPA.
Nos enfants et petits-enfants sont soumis à une propagande sexuelle complètement “libérée”. La pédopornographie et la pédocriminalité s’étalent sur Internet, en “libre” se(r)vice. Sans omettre qu’une telle perversité ouvertement promue par l’Éducation nationale perturbe gravement la croissance physique, psychique, morale, intellectuelle des enfants. Il n’est pas étonnant que la délinquance touche de plus en plus les mineurs “non accompagnés ou laissés à eux-mêmes.
Satan se déchaîne par le biais des sectes maçonniques à la manœuvre dans la République laïciste qui ne cesse de se regarder dans la glace : “Miroir, mon beau miroir, dis-moi que je suis la plus belle !” Qu’elles sont belles, en effet, “les valeurs de la République” !
Si, face à la vague monstrueuse du mal qui se déploie, nous sommes désarmés, que, au moins, nous refusions par nos suffrages de cautionner une telle sale politique. L’Europe macronienne se dessine sous nos yeux : la techno criminalité à tous les étages : du ventre de la mère jusque dans les EHPAD, dans nos quartiers et nos villages, gangrénés par la drogue etc…, bref le fascisme.
Qu’aucune voix catholique ne subventionne ce désastre.
Meltoisan
Halte à ces directions dangereuses qui veulent établir une disparition (fin de vie) dangereuse pour votre parfait bonheur, bien sûr !
Pas de “meilleur des monde” ni de “1984” qui doivent rester des uchronies ou des fictions et pas des modèles !
Meltoisan
Oui, c’est l’URSS en Marche !
Australe
Vécu cette après midi, visite à une dame de 90 ans en pleine santé, alors que je vais partir elle me dit qu’en cas d’infirmité elle demandera l’euthanasie. C’est la première fois qu’elle m’en parle. Elle est catholique.
En débattant je réalise qu’à 90 ans elle regarde la télévision et lit le journal quotidiennement, elle est sous influence, à son âge elle n’as plus l’esprit critique, elle subit la pensée unique.
Prions pour tous ceux qui subissent cette propagande, « pardonnez leur Père ils ne savent pas ce qu’ils font