Extraits de “Sur la violence gratuite en France” du pédopsychiatre Maurice Berger
4 commentaires
Publier une réponse
Vous devez avoir un compte pour publier un commentaire
Vous devez avoir un compte pour publier un commentaire
Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.
Jacques Lanza
Ce qui m’effraie c’est qu’on puisse penser qu’il s’agisse de violence gratuite ! Non, elles coûtent à ceux qui la subissent. De vivre dans la terreur voire de tomber malade de peur n’est pas gratuit pour la victime. Et les agresseurs violents coûtent à la société, condamnés ils sont à sa charge et on oublie ceux qui sont handicapés ou perdent leur vie ! Il s’agit de barbares violents, d’ignobles criminels violents , mais jamais de violence gratuite.
Les extraits du livre le montrent bien : il y a des personnes qui frappent, blessent ou tuent. Pas un virus qui flotte dans l’air.
Pierre-Jean
L’expression « violence gratuite » est de peu de sens. Cette violence est le fait d’arabo-musulmans déterminés se comportant comme des soldats dans une France qu’il faut islamiser.
Sophie
Pourquoi notifiez vous que cet écrivain est pédopsychiatre? La psychiatrie est censée être une spécialité médicale, pas une spécialité en psychologie. Lorsque les psychiatre font de la psychologie (et quand en font-ils?), ils sortent de leur champ de compétence. Ce sont des médecins, dont le métier consiste à donner des médicaments en réponse à des pathologie, et non des sociologues, encore moins des médecins de l’âme (là c’est Jésus)… Ceci n’empêche pas ce monsieur d’être écrivain et peut être fin observateur, comme pourrait l’être tout le monde.
Michel Janva
Maurice Berger est “Ancien chef de service en psychiatrie de l’enfant au CHU de Saint-Étienne, ex-professeur associé de psychologie à l’Université Lyon 2 , et psychanalyste.”
https://www.mauriceberger.net/