Mardi matin, Dominique Bertinotti a reconnu
que le sujet de la PMA n’était plus une priorité pour le gouvernement.
Initialement prévue comme un amendement à
la loi Taubira, la PMA devait ensuite figurer dans un projet de
loi sur la famille présenté en mars 2013. Face aux contestations, le gouvernement avait préféré reculer. Ce sera encore le cas car
"il ne peut pas y avoir à nouveau de débat sur les questions d'éthique
dans ce climat".
Ce qui justifie de ne rien lâcher.