Benoît XVI a présenté ses vœux aux représentants de l'administration publique
de Rome et de sa région. Il a évoqué la crise économique, qui est en fait une crise "structurelle, culturelle et des valeurs" :
"Peut-être comme jamais auparavant la société comprend aujourd'hui que
ce n'est que par des styles de vie inspirés par la sobriété, la
solidarité et la responsabilité qu'il est possible de construire une
société plus juste et un avenir meilleur pour tous. Voilà pourquoi la priorité incontournable est la
formation au respect des normes, à l'assomption de ses responsabilités,
à un mode de vie qui réduise l'individualisme et la défense des
intérêts de parti, pour tendre ensemble au bien de tous, en ayant
particulièrement à cœur les attentes des sujets les plus faibles de la
population, à ne pas considérer comme un poids, mais comme une
ressource à mettre en valeur"
ce n'est que par des styles de vie inspirés par la sobriété, la
solidarité et la responsabilité qu'il est possible de construire une
société plus juste et un avenir meilleur pour tous. Voilà pourquoi la priorité incontournable est la
formation au respect des normes, à l'assomption de ses responsabilités,
à un mode de vie qui réduise l'individualisme et la défense des
intérêts de parti, pour tendre ensemble au bien de tous, en ayant
particulièrement à cœur les attentes des sujets les plus faibles de la
population, à ne pas considérer comme un poids, mais comme une
ressource à mettre en valeur"
MJ
Francke Vitali
La crise économique ressemble à un remède naturel à la surconsommation et au gaspillage. Par ailleurs, je souhaite qu’elle devienne un remède à l’excès de désirs matériels inutiles qui parasitent et pervertissent la condition humaine.
odile kukai