Le spectacle du chef de l’Eglise malade est incompréhensible pour nos contemporains. Henri Tincq s’insurge contre cette "fiction selon laquelle cet homme exténué est encore capable de gouverner" et il se demande "pourquoi ne pas lui laisser son statut d’icône symbolique et le droit de finir ses jours en paix ?". Oui, pourquoi ?
Peut-être parce que la souffrance et la Croix sont le passage obligé pour qui veut servir NSJC et donc l’Eglise… et c’est bien ce qui scandalise nos pharisiens-journalistes.