Le Canard enchaîné révèle que, bien avant d’être ministre de l’Aménagement du territoire de François Bayrou, l’ancien maire de Dijon avait assisté à la venue de quatre représentants du Front de libération nationale corse au sein de sa loge maçonnique. Entre cagoulés, le courant doit passer…
Le 22 janvier 2000 au soir, Rebsamen était au siège du Grand Orient de France, rue Cadet, à Paris, où étaient donc invités des terroristes corses.
A quand la dissolution de la franc-maçonnerie ?
Foudras
Notons que ce portrait photographique du maire n’a pas été réalisé devant une loge ou devant la statue de la république ou autre lieu symbolique de la même veine mais devant l’église Notre-Dame de Dijon.
EROUANI
Rien d’étonnant quand on connaît le passé gauchiste du personnage.
Un certain Lionel Jospin n’a-t-il pas eu un passé similaire avant de devenir Premier Ministre puis membre du Conseil Constitutionnel ?
motivaconseils
Cela a été fait, par les lois du 13 août 1940 et 11 août 1941.
Michel
Les loges (et avec elles la République, leur enfant) ont toujours œuvré contre la France et les Français : qu’un de ses membres dialogue avec des terroristes n’a donc rien d’étonnant…