Après sa suspension des instances nationales du PS, le parquet de Montpellier a ouvert jeudi soir une information judiciaire pour "injures publiques envers un groupe de personnes en raison de leur appartenance ou de leur non appartenance à une ethnie ou une race déterminée" envers Georges Frêche. Le président de Région encourt 6 mois de prison et 22.500 € d’amende pour ses propos. Cette qualification écarte la menace d’une inéligibilité.
Frêche poursuivi
4 commentaires
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Bob
Le code pénal reconnaît donc l’existence des races… pour répondre à un petit débat qui avait eu lieu entre commentateurs il y a quelques jours.
pepe.x
Si, Le-Pen avait employe, ses termes de “sous homme” en moins de 15 jours ,il aurait ete jugè et condamné. Surtout a l’approche d’election importante.
Ad jesum per mariam
Mais notre voyoucratie a deux poids et deux mesures. En même temps il ne risquait pas de le faire car le FN est un des rares partis à soutenir la cause des harkis
claire
pourquoi m. freche n’a t’il pas été condamné ni même repris pour avoir traité le pape d”abruti”????