Suite à l'expulsion des grévistes de la faim de l'hôpital de Garches, Le Parisien nous informe que les parents ont finalement quitté Garches en fin d'après-midi pour Le Port-Marly. Laurence Godfrin, porte-parole des familles, annonce :
«Grâce au père Bruno, les familles ont trouvé refuge dans l'école privée Sainte-Geneviève, au 15, rue Jacques-II». «Les parents vont y passer la nuit et continuent leur grève de la faim. Et les lieux sont ouverts au public».
La mobilisation se poursuit pour le maintien du service du Dr Delépine.
Vidéo prise hier par le SB :
gipsy
que peut on faire depuis la province pour soutenir ces mamans ? Que le Bon Dieu les garde et les protege !
divine Providence du Coeur de Jesus pourvoyez-y !
trahoir
Fernand Raynaud avait déjà imaginé ces situations face à la police :
https://www.youtube.com/watch?v=qmA…
– Mais écoutez, monsieur, écoutez, soyez gentil. Je suis docteur, je dois aller sauver une jeune fille qui va peut-être mourir dans… dans 20 minutes. Il faut que je lui apporte de l’oxygène.
– Ecoutez, moi qui suis docteur… que de palabres, de discussions… on a perdu du temps, laissez moi passer !
– Non ! Vous ne passerez pas ! À partir de deux heures, personne ne doit passer. Vous pouvez porter plainte contre moi, je ne risque rien, je suis fonctionnaire ! J’ai le bouclier de la Loi. Le juge me donnera raison. Vous m’entendez ?
– Oui je vous entends, mais c’est ridicule qu’une jeune fille… Je n’allais pas loin, voyez : je prenais le boulevard de la Liberté, et je tournais à gauche… Pas à gauche parce qu’il y a la rue de l’Égalité… mais c’est une impasse et j’allais rue de la Fraternité. J’allais au numéro double zéro, au sous sol.
– Mais, mais c’est là où j’habite, moi. Mais, c’est pt’être ma fille, alors ?
– Bin oui, certainement !
– Mais passez vite, alors !
– Mais vous m’avez dit que… vous n’aviez pas le droit !
– Ah bin oui, mais, entre fonctionnaires, on s’aide un peu, y’a des clins d’œil, on s’arrange entre nous
– Non, depuis le temps que vous m’expliquez que vous avez raison et que vous avez un brassard avec le tampon de la mairie qui vous donne tous les droits, c’est trop tard maintenant, vous pouvez le mettre en deuil, votre brassard…”
http://blogs.mediapart.fr/blog/patr…
Sylvie
Après la chapelle de l’hôpital de Garches, les forces de l’ordre vont intervenir dans une enceinte privée scolaire de l’école Sainte-Geneviève à Port-Marly et en chasser les parents grévistes de la faim. Ils en sont capables, car ils ne veulent rien savoir même si Garches n’est pas loin du Port-Marly.
Les enfants hospitalisés à Garches, le pouvoir politique va les envoyer dans un mouroir pour les éliminer petit à petit sans que la famille ne le sache… Les enfants n’ont plus le droit de voir leurs parents. Si les parents reviennent à l’hôpital de Garches, ils se feront tous mettre en garde à vue pour entrave à la loi…
Et de quelle loi s’agit-il ? De l’assassinat probable des enfants malades comme à d’autres époques de l’Histoire ! On l’a bien vu entre 1941 et 1944 en Allemagne quand on éliminait les personnes handicapées atteintes de maladies cancéreuses. On leur administrait de force des médicaments pour les endormir et ensuite on les gazait.
Les parents grévistes doivent le savoir : leurs enfants ne sont plus du tout en sécurité, car un transfert va s’effectuer vers des structures où ils n’auront plus le droit de visite ni de les voir. Et leurs enfants vont mourir affreusement.
Je conseille aux parents grévistes de déposer plainte contre l’Etat pour non assistance à personne en danger et de le faire auprès des instances européennes. Elles sont très sensibles quand il s’agit de personnes malades et handicapées.