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Culture de mort : Idéologie du genre

Genre : et maintenant, la “ville inclusive”

Chris Blache, consultante en Socio-Ethnographie, Co-fondatrice de Genre et Ville, est une militante du genre et n'a visiblement que cela à faire. Elle est interrogée dans le n°32 du magazine Service public Territorial pour y évoquer la "ville inclusive" :

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20 commentaires

  1. N’importe quoi cette revendication, dans les magasins en shopping ce sont les femmes qui priment et flânent, ainsi que dans les milieux associatifs de plus en plus de femme ont leur heure de piscine, danse, yoga, ou fond du jogging ou de la marche nordique…dans les bibliothèque aussi on voit plus de femme, dans les squares ou sur les bancs…dans les parcs…
    Le seul endroit où on voit peut-être un peu moins c’est dans les stades de jeux de ballon et ceux de lutte (judo Karaté etc…) et encore ce ne sont pas les moins motivées !
    De plus en plus se font des restos entre amies…des pauses massages, épilations, coiffeurs etc…
    Stop à la revendication pour gueuler juste pour le plaisir, et si on ouvrait un peu les yeux sur le bonheur d’être femme épouse et mère, ( voir hé oui mère d’abord!) loin de ces rabats-joies primaires ?

  2. C’est top ! la conn..ie n’a plus de limite !

  3. la sottise
    sottise de cette femme dont l’esprit est si étriqué qu’elle doit certainement croire à ce qu’elle dit
    sottise de ceux qui lui font crédit au point de l’interviewer et de publier ses idioties sans honte de gaspiller du papier pour de telles crétineries
    sottise de ceux qui liront cet interview sans aucun esprit critique comme ils liraient l’interview d’un philosophe ou d’un PDG et trouveront cela sensé
    c’est effarant, effarant, effarant
    Pourtant Einstein nous avait prévenus, lui qui disait : “deux choses sont infinies, l’univers et la bêtise humaine, mais pour l’univers, je n’en suis pas sûr”

  4. Tout cette phraséologie est bien confuse. Est-il vraiment besoin de faire des études de socio-ethnographie pour en arriver à ce point de déréliction intellectuelle? On en doute.
    Le plus invraisemblable de l’histoire, comme d’habitude, c’est l’assurance irresponsable avec laquelle tous ces “intellectuels” prétendent nous conduire vers un monde bien meilleur: on ne nous dit pas si ceux qui refuseront d’entrer dans la ville “inclusive” seront “concentrés” quelque part ailleurs…
    Dans dix ans on n’entendra plus parler de ces bétises: “ils” auront trouvé un nouveau dada pour s’occuper.

  5. des tas de LGBT qui auront des écoles, des collèges et des crèches avec des petits garçons et des petites filles.. Belle ville…

  6. il faut vite l’enfermer.
    Sans rire, que s’est-il passé dans sa vie pour en arriver à de telles inepties ?!
    Et on lui donne la parole…

  7. A archiver dans la “chronique des cinglé-e-s”. Que d’âneries débitées sur un ton d’expert. Molière se serait régalé.
    Qu’elle confronte ses préjugés à la dure réalité de la femme dans nos quartiers islamisés et après on en reparle.

  8. Comment dire…moi qui suis fonctionnaire territorial dans une Commune, cette dame a effectivement beaucoup de temps à perdre, et, sincèrement, les urgences aujourd’hui ne sont pas celles- là !

  9. En quoi une ville à la Haussmann serait-elle “guerrière” ?
    RI-DI-CU-LE

  10. Ces gens-là ont vraiment un grain… Il faut vraiment qu’ils pensent à consulter… Et sinon, ils ne pourraient pas se montrer un peu plus utiles à la société, en faisant autre chose que de pisser des concepts à la mord-moi-le-noeud ???

  11. Au-delà de l’inutilité absolue de ce genre d’étude, il faut souligner son caractère éminemment idéologique : l’auteur.e (comme on dit maintenant) ne respecte absolument pas les critères d’une étude sociologique en bonne et due forme, puisqu’elle avance sa thèse avant même l’observation sur le terrain. Il suffit pour s’en convaincre de relire l’interview. On s’interrogera de plus sur les paramètres des cette étude, surtout le paramètre de lieu : “l’espace public” cela ne signifie rien sans autre précision, pas plus que la population concernée (suivez mon regard…)

  12. Qu’elle commence par les quartiers concernées, ceux où l’on ne voir que des hommes dans les cafés, interdits aux femmes…
    Qu’elle aille leur expliquer.
    Qu’elle en tire des conclusions en fonction de comment elle sera reçue …
    (bon, faut pas rêver, quand on est sectaire, on est sectaire)

  13. “anthropologue urbaine” qu’ès aco? Elle a découvert une ville qui est un être humain?
    “La ville hausmannienne a joué également un rôle pour reléguer les femmes à la sphère privée” ??? À quel quartier se réfère-t-elle pour affirmer cela? Elle aurait écrit “la banlieue sous influence musulmane a joué également un rôle pour reléguer les femmes à la sphère privée” j’aurais compris, mais la ville hausmannienne?

  14. Les femmes (dont je fais partie) ont donc peur des boulevards haussmanniens ! Ben voyons.
    Tout un article pour ne pas dire l’essentiel.
    Les hommes qui glandent et qui “occupent” l’espace ne sont pas très blancs et de fait, les femmes ne se sentent pas à l’aise avec eux et donc ne s’attardent pas. Déjà que quand on marche, les jeunes femmes se font “dévisager” et se prennent des réflexion, cela ne donne pas trop envie de s’asseoir sur un banc à attendre! C’est ça le résultat de la mixité raciale..on a moins de mixité homme/femme. Il fallait choisir.
    Et oui, les femmes ont plus souvent des poussettes. Et alors? Les enfants n’ont donc pas le droit d’être inclus dans la ville?

  15. L’absence de femmes dans l’espace public de certains “quartiers” est flagrante mais seulement pour des raisons ethno-islamiques. Les hommes sont en effet au bistrot ou sur les trottoirs, les femmes travaillent pour la famille.

  16. Bonne nouvelle tout le monde s’en fiche …pfff

  17. Je crois que c’est une femme très maline !
    Elle sait surfer sur la vague du genre … et toutes les lignes budgétaires qui vont avec.
    Elle sait qu’en allant voir les adjoints au Maire chargés des questions égalité (voire égalité et genre), elle obtiendra des subventions pour n’importe quoi. Ceci est d’autant plus facile que ces adjoints ont des lignes budgétaires votée pour faire bien, mais qu’ils ne savent pas comment dépenser, car ils n’ont pas d’actions à mener.
    Si j’osais me créer une fausse identité, je ferai pareil pour obtenir des subventions … que je reverserai à d’autres assos combattant la théorie du genre …

  18. Comme la banalisation du mal observée par Annah Harendt, nous assistons de nos jours à la banalisation de la connerie. Chaque jour un petit pas s’annonce dans la direction de la “déconstruction” ( Derrida!) de la perception des réalités les plus évidentes. Cette banalisation de l’aveuglement est encore plus effrayante que celle du mal.
    Péguy l’avait également bien vu. Il y a plus d’un siècle il écrivait ” « Il y a quelque chose de pire que d’avoir une mauvaise pensée. C’est d’avoir une pensée toute faite. Il y a quelque chose de pire que d’avoir une mauvaise âme et même de se faire une mauvaise âme. C’est d’avoir une âme toute faite.
    Il y a quelque chose de pire que d’avoir une âme même perverse. C’est d’avoir une âme habituée » Voilà ce qui nous arrive aujourd’hui: nous nous habituons petit à petit aux plus énormes absurdités. On nous anesthésie en douceur. La connerie est banalisée. Il est temps de se réveiller!

  19. Cette pauvre femme est à enfermer d’urgence.
    Arriver à ce niveau d’imbécillité est effarant.
    Même si tout ça est un tissu de bêtises, il est bien que le Salon Beige publie cet article. Il est bon de savoir ce que des abrutis fomentent dans leur petite cervelle dévitalisée.

  20. Du grand délire … on peut dire même que c’est collector !

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