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Liberté d'expression

Geoffroy Lejeune mis à pied de Valeurs actuelles

Geoffroy Lejeune mis à pied de Valeurs actuelles

Le directeur de la rédaction de Valeurs actuelles Geoffroy Lejeune a été mis à pied par sa direction. Il est convoqué pour un « entretien préalable à sanction pouvant aller jusqu’au licenciement ».

À l’automne dernier, il était sur le point d’être remercié par le propriétaire du magazine, le franco-libanais Iskandar Safa, mais il avait sauvé sa tête grâce à la mobilisation de sa rédaction et d’une opération de communication inédite « Je suis là pour VA ».

Le propriétaire de l’hebdomadaire n’aurait pas apprécié la droitisation du journal.

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9 commentaires

  1. Iskander Duchmol pourra rebaptiser son Journal L express ou le point…

  2. Le propriétaire actuel devrait vendre le journal et retourner dans son pays d’origine…

  3. C’est bizarre une autre libanaise voulait s’en prendre à Cnews!

  4. La droitisation revendiquée par la Rédaction ou une droitisation phantasmée par la bien-pensance médiatique ?

  5. Valeurs Actuelles atteint par le grand capital apatride, c’est ce qui était à craindre. BigMoney ne supporte pas les frontières, la patrie, le christianisme, tout ce qui peut s’opposer à sa toute puissance et Iskandar Safa ayant dû subir des pressions dans ses affaires, obtempère comme tout bon capitaliste défendant ses comptes en banque avant ses convictions. Le fric, le fric, encore et toujours le fric.

  6. Lejeune avait échappé une fois aux foudres de sa direction, cette fois, ils l’ont mis à pied rapido pour éviter une autre vague de soutien de la rédaction et du lectorat.
    Bien dommage de nous priver d’un journal un peu indépendant mais je pense que Lejeune saura rebondir, en tout cas je le lui souhaite!

  7. je suie favorable à la ligne editoriale actuetlle de VA , au gout relevé. SI C’EST POUR Moi DES POMMES DE TRRE à L’EAU et SANS SEL
    TRES PEU POUR MOI. Pas de réabonnement!

  8. le gars dit des vérités,il doit être exécuté

  9. Montherlant disait : “se faire des amis est un souci d’épicier, se faire des ennemis est un plaisir d’aristocrate”.
    Le propriétaire libanais semble avoir transformé VA en épicerie : se faire des amis des puissants et des lecteurs.

    Geoffroy LEJEUNE est-il un épicier ?
    Ou bien chargeant comme un hussard et invoquant la mitraille, il est un aristocrate ?

    Dans ce cas, il faut quitter l’épicerie.

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