Le 15 septembre, dans une allocution aux préfets, le président de la République a annoncé que le gouvernement déposerait, début 2023, un projet de loi visant à réformer le droit d’asile. Or, le président ne souhaite nullement restreindre la mise en œuvre de ce droit. Sa déclaration contient un aveu, puisqu’elle évoque « un projet relatif à l’immigration donc à l’asile ».
« Notre politique consiste à mettre des hommes et des femmes qui arrivent, qui sont dans la plus grande misère, dans les quartiers les plus pauvres. »
Emmanuel Macron confirme ensuite que l’immigration est destinée à repeupler les campagnes. Il n’y a pas de raison que seul le 93 profite de chances pour la France.
Et “en même temps”, le président a lancé l’offensive pour légaliser l’euthanasie… Eliminons les Français pour les remplacer.
Communiqué de Yann Baly, président de Chrétienté Solidarité :
Dans la perspective d’une énième « nouvelle » loi sur l’immigration (ce sera la 28e depuis 1981), Emmanuel Macron a émis le souhait de sortir les immigrés déjà présents dans les quartiers dits défavorisés (dans lesquels, pourtant, les millions coulent à flot depuis plus de 30 ans) et d’accueillir les nouveaux arrivants dans les zones dites « favorisées » et les campagnes françaises.
Le président de la République poursuit ainsi un programme de colonisation à rebours du territoire français et met en œuvre le programme des « indigénistes », dont fait partie son actuel ministre de l’éducation, que l’on continue étonnement de qualifier de « nationale ». Ce courant, mû par un racisme antifrançais et antiblanc, a été combattu par Chrétienté Solidarité et l’AGRIF, alors qu’il n’en était qu’à ses prémisses, incarné que par la très haineuse Houria Boutelja.
A la différence des colons venant de la France métropolitaine pour s’installer en Algérie au XIXe et au XXe siècles, les néo-colons de Macron ne construisent pas de routes, n’édifient pas d’hôpitaux ou d’écoles. Ils se contentent de bénéficier des nombreuses aides sociales et privilèges qu’un Etat, pourtant au bord de la faillite, leur distribue généreusement avec l’argent que l’on ponctionne auprès des « souchiens », ainsi que sont nommés les Français de souche par les indigénistes.
Nous assistons à une véritable substitution de population par l’effet conjugué d’une entrée toujours plus massive d’immigrés et d’une baisse continue de la natalité française. Nous sommes, désormais, dans une phase avancée du génocide français que dénonçaient, dès 1981, Bernard Antony et Chrétienté Solidarité.
Face à cette nouvelle tentative dissolution de la nation française, un seul mot d’ordre : résistance !
L’heure n’est plus aux palabres politiciens mais à un sursaut d’unité nationale et de salut public pour sauver notre peuple et notre civilisation.
ose
Oui mais comment ? Un appel à l’insurrection armée contre le système ? “La république gouverne mal mais se défend bien” !
lecer
Yann Baly se trompe. Ce n’est plus la “résistance” qu’il nous faut proposer aux Français car nous n’en sommes déjà plus là ; C’EST LA GUERRE. Et si nous ne la faisons pas, la France disparaîtra. C’était déjà ce que nous prônions le 1er janvier 2013 : https://conseildansesperanceduroi.wordpress.com/2015/01/16/consilium-consulte-n-2013001-du-1er-janvier-2013-ordonnant-la-mobilisation-generale/. Bientôt dix ans…
F. JACQUEL
Le pâle toqué élyséen a été imposé à la France en 2017 et reconduit en 2022 pour détruire la France et remplacer sa population par un gloubi-boulga conforme au Great reset de Klaus Schwab et de ses affidés. Plan qui doit être achevé en 2030.
D’ici là, nul doute qu’il imposera une modification ou la suppression du 2ème alinéa de l’article 6 de la Constitution :
“Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs.”
Reine Tak
J’irai allumer un cierge de gratitude à Notre Dame de la Garde si le mandat de l’histrion de l’Elysée se termine prématurément.
Mais qu’attend donc la prétendue opposition pour le destituer ?
zongadar
Le plan du DS, créer des humains déracinés, manipulables, ‘esclavables’, hackables…Je ne sais pas ce qu’il faut pour éveiller les gens, mais tout est fait pour.