De Caroline Parmentier dans Présent :
"Un reportage plus vrai que nature à 5h30 ce matin sur France-Info : c’est un certain «Moustique» à fort accent maghrébin qui «s’exprime» : «J’en vois un de Genevilliers, je le plante. Il sort du métro, je le plante. Il descend du bus, je le plante. Je me le fais. Il va mourir. On lui fait les poches pour voir d’où il vient, si c’est marqué sur sa carte d’identité ou sa carte scolaire. C’est comme ça, ceux de Genevilliers, ils doivent mourir.» Tentative d’intervention sucrée de la journaliste décalée : « Vous ne pensez pas que c’est une escalade de la violence et qu’il faut peut-être arrêter un jour ?» «Je te dis que je le plante, il est de Genevilliers, il doit mourir.» A vous les studios, commentaire du présentateur de France-Info : «C’était Moustique d’Asnières»…
Au secours Zemmour ! Le jeune barbare en question s’appelle Mustapha ou Kader. Il est âgé de 14 à 17 ans. Il n’est pas plus d’Asnières que je suis de Paimpol. C’est un petit barbare d’origine immigrée de la troisième génération au moins, qui n’a toujours pas trouvé sa place chez nous. Au contraire, il y a importé des mœurs à la Hutu et Tutsi, entre Africains et Maghrébins, entre bandes rivales, entre ceux de la cité des Luths et ceux de la cité des Courtilles. Un caïd raciste, haineux, appartenant à une bande ethnique dont la principale occupation quotidienne est la lutte de territoire entre clans. […] C’est une véritable guerre tribale à laquelle se livrent depuis plusieurs jours les clans ethniques des cités d’Asnières et de Genevilliers. Ils s’entretuent, ils s’affrontent à coups de barres de fer, de couteaux, de haches, de tournevis et de râteaux. Ils terrorisent les habitants, occupent les écoles, bloquent les nationales, arrêtent les bus, saccagent les métros. Il y a dix ans que cela dure. Avec une recrudescence des violences depuis 2009. En temps normal on en parle à peine ou pas du tout. Cette fois, il y a eu un mort de plus et trois blessés graves. Plusieurs policiers ont été sérieusement blessés en tentant de ramener l’ordre. Il y a quelques mois c’est le poste de police municipale d’Asnières qui a été saccagé, un officier de police avait perdu un œil. […]"
Robert Marchenoir
Le maire de l’une des deux communes a prétendu, afin de noyer le poisson : “C’est une rivalité séculaire”.
Ben voyons… rien à voir avec l’immigration, naturellement.
Philippe Régniez
Un article sensé, comme toujours de la part de Mme Parmentier, qui amène une question : que faire de ces barbares ?… mais ne dit-on pas que poser la question, c’est déjà, d’une manière, y répondre…
Michel
Faut-il s`étonner que des cultures tribales qui pratiquent une religion tribale forment des individus a mentalités tribales et violentes. Ce n`est que le transfert de la culture du maghreb, de l`Afrique ou du Pakistan en Occident.
Une simple vol d`avion de quelques heures va t`il soudainement transformer un homme qui a été élevé dans les normes violentes et tribales islamique en un grand démocrate connaissant les valeurs occidentales et avec une morale judéo-chrétienne. Allons donc. La Vérité c`est que tout nous paierons pour l`incompétence des élites et des diplomes a rabais….
Tout cela en dit beaucoup plus sur la nature pitoyable des élites occidentales actuelles que sur la nature de ces peuples.
Comment se fait-il que les gogos qui gouvernent en occident ne savent pas une choses aussi simple. Que les pseudos spécialistes universitaires a gros salaires n`ont pas parlé…que les journalistes minables se taisent devant des informations faciles a trouvées.
C.B.
«J’en vois un de Genevilliers, je le plante. Il sort du métro, je le plante. Il descend du bus, je le plante. Je me le fais. Il va mourir. On lui fait les poches pour voir d’où il vient, si c’est marqué sur sa carte d’identité ou sa carte scolaire. C’est comme ça, ceux de Genevilliers, ils doivent mourir.»
C’est ce qu’on appelle le “vive ensemble”, qui est censé être “travaillé” à l’école.
Concernant la remarque du maire “C’est une rivalité séculaire”, un coup d’œil aux cadastres du début du vingtième siècle ou à des cartes un peu plus anciennes (ça peut se trouver sur internet) permet de déduire les compétences d’historien de cet édile (à moins qu’il ne fasse allusion à une rivalité séculière entre une ou deux familles… dont on peut douter que ces “jeunes” soient des descendants).
chouan 12
c’est là qu’on voit chaque jour un peu plus l’incompétence des pouvoirs publics
Noe
Non mais vous avez vu dans quels ghettos vivent tous ces jeunes? N’importe quel psycho-thérapeute vous expliquera qu’il n’y a pas mieux pour créer un climat de violence que de faire fermenter des bandes juvéniles dans des quartiers en béton dépourvus de toute vie culturelle ou académique digne de ce nom. Quand on réunit toutes les conditions pour l’éclosion du désastre, il ne faut s’étonner de voir le problème migratoire dégénérer en désastre social.
trahoir
Le maire de l’une des deux communes a prétendu, afin de noyer le poisson : “C’est une rivalité séculaire”.
Ben voyons… rien à voir avec l’immigration, naturellement.
Rédigé par : Robert Marchenoir
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Et ce “séculaire” tendrait à prouver que ces “bons petits gars de l’immigration” reprennent les bonnes vieilles traditions de chez nous datant de nombreux siècles.
Racailles de manière “séculaire”.
CQFD.
Elle est pas belle la propagande ?
SD-Vintage
une France multi-ethnique et multiculturelle, c’était à quoi les élites travaillaient. Voilà le résultat
“toute vie culturelle ou académique digne de ce nom”: il y en a une, ils s’en foutent. À l’époque où ces ensembles étaient peuplés de “gaulois”, il n’y avait pas ce genre de problème. La question n’est pas l’architecture, mais les valeurs, la culture, et le mode de vie de ceux qui y vivent
Math
le ghetto, c’est EUX MÊMES qui se l’ont imposés.
Pas nous !
Michel
Pas besoins d`avoir beaucoup d`argent pour etre a l`ordre, pour respecter les lois et la morale, pour participer a la vie du pays.
La plupart des familles francaises ou des immigrants apres la seconde guerre mondiale étaient pauvres mais a l`ordre il y a 60 ans.
Tout cela est incroyablement culturel et religieux – une religion fourre-tout et brutale va créer un individu fourre-tout et brutal.
Lysandre
Vous devinez comme c’est insoutenable pour des lycéens comme moi de passer dans certains quartier de notre propre ville, dans notre propre pays… Moi et tous mes amis ne faisant pas partie de bandes et devant se rendre au lycée Renoir (dans le quartier de la “guerilla” et des meurtres…) nous craignons les “descentes” de Gennevilliers et beaucoup les bandes d’Asnières car qu’on se le dise, d’Asnières ou pas : un “blanc” reste un “blanc”.
AMarie
A Noé : j’ai grandi à Bobigny, au milieu des HLM et du béton, dans un 50 m² à quatre et dans une famille d’ouvriers. Sans loisirs. Et ni mon frère ni moi ne sommes tombés dans la délinquance, comme du reste la plupart des petits français autour de nous. Mais pas comme le gros pourcentage d’immigrés d’origine maghrébine qui déjà à cette époque occupaient les lieux. La différence : l’éducation reçue de nos parents, des gens simples qui nous inculquaient le goût de l’effort, l’obéissance et le respect de l’autorité. Vous êtes naïf.
Guizmoet
Citoyens dormez tranquilles, vos chers élus veillent ; continuez à voter pour eux et vous aurez le même résultat !
Jean L
D’accord avec AMarie; je suis orphelin de guerre, comme on disait; ma mère était ouvrière.J’ai “réussi” car elle m’a donné les bonnes bases.
Robert Marchenoir
“Des quartiers en béton dépourvus de toute vie culturelle ou académique digne de ce nom.”
Je ne comprends pas. Vous voudriez les construire en quoi ? En pierre de taille ? En bois ? En boue séchée ? Aujourd’hui (et depuis à peu près un siècle, d’ailleurs), on construit en béton. Le béton émet des ondes qui incitent au meurtre par tournevis ?
Quant à la “vie culturelle et académique digne de c’nom”, je suis prêt à parier que cette “banlieue défavorisée” regorge, comme tant d’autres, d’écoles, de bibliothèques, de centres culturels, de stades et d’autres “centres associatifs”.
Beaucoup plus que les zones rurales “favorisées” et “non sensibles”.
Maintenant, je ne garantirais pas que ces “équipements” et “services publics” ne soient pas régulièrement brûlés ou saccagés.
Peut-être faut-il envisager l’hypothèse que c’est justement notre culture que ces “jeunes gens sensibles” rejettent ?