Henri Fesquet, créateur de la rubrique religion au Monde, qu'il a tenu pendant trente ans, est mort le 28 avril à 94 ans, annonce jeudi le quotidien.
Il couvrit notamment la crise des prêtres ouvriers, en 1954, et surtout le Concile Vatican II (1962-1965). Catholique progressiste (il prit inlassablement position dans les colonnes du journal en faveur de l’ordination des femmes, du mariage des prêtres), il était bien informé sur l'évolution de l'Eglise en raison de son amitié avec de grands théologiens du Concile, comme les Dominicains Marie-Dominique Chenu et le futur cardinal Yves Congar. Il sera remplacé par Henri Tincq, grand désinformateur religieux, aujourd'hui à la retraite.
Il a besoin de nos prières.
Daquin
Entre-temps, ils ont mis un s au nom de la rubrique. Qui s’en occupe maintenant?
Par ailleurs, bel exemple de mélange de genres. Beuve-Méry insistait sur la séparation des faits et des commentaires, et n’aurait pas autorisé les mises en demeure à la Tincq.
C.B.
Nos anciens disaient “que la terre lui soit légère”.
Tintoun
RIP
PK
Quelque part, c’est une bonne nouvelle : la génération qui a fait tant de mal à l’Église s’en va et les gens qui les remplacent ne peuvent que mieux faire !
France Royale
Une question me taraude : pourquoi mettre cet article dans la catégorie “Communisme” ? Le lien avec le Monde me paraît obscur…
[Coquille… MJ]
trahoir
La dernière émissions de Daniel Hamiche abordant l’affaire du Piss Christ et les pélérinages à venir :
http://rutube.ru/tracks/4402324.html?v=a2e4b5a60084f3a95d6153177e24593a
http://radio-courtoisie.over-blog.com/article-lj-daniel-hamiche-5-5-previsionnel-73156416.html
jeffmoveone
Que Dieu aie pitié de son ame.
perry
hélas, PK, je crains que la génération qui suit ne fasse rien du tout ! on vient d’en avoir l’exemple. Ce silence assourdissant là où l’on attendrait de chaleureuses défenses de nos croyances , il serait bon d’apprendre à ce petit (et grand) monde, ce qu’ont chanté les combattants de la foi : “nous n’avons qu’un honneur au monde, c’est l’honneur de Notre Seigneur…”
Quand au défunt, d’accord, que Dieu ait pitié de son âme !