L’OJIM révèle que des Hongroises se plaignent d’avoir subi toute une série de brimades en raison de leur condition de jeunes femmes :
La direction d’AI Budapest aurait discriminé et harcelé ces femmes parce qu’elles se seraient permis de fomenter l’horrible crime consistant à vouloir accoucher d’un enfant, ou pire encore, une fois ce dernier né, de vouloir allaiter ! C’est ce qu’une de ces femmes racontent : un des dirigeants d’AI lui aurait demandé d’arrêter l’allaitement pour être en mesure de se remettre convenablement au travail.
Et ce n’est pas tout : alors que l’organisation plaide pour la fin des discriminations au travail sur des critères liés à la maternité, AI aurait tout fait pour forcer ces femmes à signer des contrats de courte durée (une pratique contre laquelle la gauche hongroise et AI sont vent debout depuis des années). Cerise sur le gâteau : la direction d’AI aurait aussi demandé de manière très insistante à une des employées licenciées de signer une déclaration de confidentialité indiquant que son départ n’avait rien à voir avec une quelconque discrimination. En cas de rupture de cette confidentialité, cette déclaration aurait aussi prévu une indemnité de 2500 euros à verser par l’ex-employée et à son ex-employeur. Elle est belle, la morale gauchiste !
L’une des ex-employées s’estimant harcelées et discriminées avait en charge le programme et la coordination des questions liées au genre au sein d’AI Budapest, autant dire un rôle de premier dans le travail de sape contre le gouvernement Orbán. Aujourd’hui, elle s’insurge et laisse entendre que finalement AI ne se distingue pas des autres entreprises dans leur gestion du personnel féminin en âge de procréer. […]
Gaudete
Amnesty international encore une des succursales à la soros. Qu’Orban foute toutes ces chiures de mouches dehors et qu’on n’entende plus parler de ce loups déguisés en agneaux.