"Ce que l’on retiendra principalement de cette pantalonnade, c’est l’aveu qu’a fait le ministre de l’Immigration et de l’Identité nationale – la superposition sur une même tête de ces deux casquettes est en elle-même très symbolique –, le 5janvier à la cité des 4 000 de La Courneuve : «la France n’est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c’est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble. Il n’y a pas de Français de souche, il n’y a qu’une France de métissage»
Il est vrai qu’Eric Besson a corrigé sa prose le 22 janvier en déclarant à l’AFP qu’à bien y réfléchir, la France était «un seul peuple, une langue, un territoire, des valeurs et une organisation institutionnelle : la République». Les journalistes qui avaient rapporté la première version avaient donc mal entendu ? Non, ils avaient mal compris, a expliqué le ministre, qui voulait, dit-il, évoquer la France d’avant la France, celle des tribus éparses décrites par Jules César dans ses Commentaires sur la guerre des Gaules.
Ce que je comprends, moi, c’est que ce ministre qui a de la République plein la bouche considère l’ensemble de ses compatriotes comme un conglomérat d’imbéciles abyssaux. Ce que je comprends aussi, c’est que le ministre de l’Immigration tient à La Courneuve un discours propre à plaire aux populations issues de l’immigration extra-européenne ; et que le ministre de l’Identité nationale tient le discours exactement opposé pour amadouer l’électorat de droite. Tout le prétendu débat sur la question identitaire a été fait de ce tabac-là. Si le président de la République et son gouvernement ont pu donner l’impression qu’ils n’avaient ni stratégie, ni ligne directrice, c’est qu’ils avaient, au contraire, une double stratégie et un double discours. Jamais pouvoir n’a traité une question aussi fondamentale, à un moment aussi crucial, avec une telle démagogie."
Identité nationale : démagogie et double discours
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les tribus gauloises étaient sans doute moins disciplinées que les légions romaines, mais elles habitaient un territoire la Gaule, elles parlaient une langue qui se différenciaient bien du germain. Elles étaient installées depuis fort longtemps en Gaule et avaient la même origine. ils s’agissaient de Celtes. Ils avaient aussi de divinités communes bien spécifiques, et des savoirs bien précis et partagés entre eux (tonneaux, etc.)
Bref rien à voir avec ce qu’a dit M. Besson. Même en essayant de se rattraper aux branches, il n’est pas crédible.
Quant à Jules César il décrit aussi parfaitement les caractéristiques des Gaulois dont il respecte les qualités de courage et témérité et il les identifie très bien comme des Gaulois et pas des Romains, des Gétules, et sûrement pas un agglomérat de peuples du monde.
Comment un ministre peut-il dire des choses pareilles et prendre ainsi les actuels autochtones gallo-romaine de France pour de imbéciles! C’est du n’importe quoi!
moms
c’est du n’importe quoi avec un gouvernement de fantoches comme celui que nous avons mais tant que le peuple gavé d’aneries à la télé (du pain et des jeux) cela se continuera et les envahisseurs s’en donnent à coeur joie puisqu’il n’y a pas de résistance!
De Roal
Cela fera bientôt cinq ans que le parti unique « droitegauche » prends le peuple français pour ce qu’il n’est pas. Depuis le 29 mai 2005, la classe politique de ce pays ne sait plus quoi faire pour distraire les stupides (ceux qui sont frappés de stupeur). Comme si les Français ne savaient pas qui ils sont.
Fort heureusement, la Sous-France que le peuple français endure depuis plus de quarante ans arrive à son terme. Au bout de dix ans de cupidité démentielle, les €uropéens triomphent à leur manière : Grèce, Portugal, Espagne, … voire plus, si affinité. Tout le monde a compris que les citoyens €uropéens, dont le chef de file est le prince Cohn-Bendit (qui insulte ses complices au Parlement €uropéen) aiment faire la fête. Ils organisent, donc, une partie de domino qui convient à leur grand âge. A ceci près que cette fête ne fait plus penser au « Crépuscule des vieux », évoqué par Georges Bernanos, mais au crépuscule des fantômes du vingtième siècle qui viennent encore hanter nos mémoires embrumées.
Et comme chacun sait, le petit matin brumeux augure d’une journée radieuse.
Cette Génération de 68 ressemble aux démons. Comme eux, elle est sans ascendants et sans descendants. Elle a toujours revendiqué le « droit » de ne pas se reproduire. Depuis le 22 mars 1968 (jour où le « prince » s’est manifesté), cette « princesse » fait du bruit avec sa bouche. Mais depuis le 29 mai 2005, elle est devenue inaudible. En effet, on voit bien qu’ils remuent encore les lèvres, mais aucun son ne sort. Ils n’ont rien à dire et c’est pour cette raison qu’on entend un silence de mort.
Le peuple français attend patiemment le rétablissement de son territoire, de sa souveraineté et du droit qu’il a « à disposer librement de lui-même », comme il l’a toujours fait depuis deux mille ans et comme il le fera encore.
Le peuple français aspire au rétablissement de la France. C’est TOUT.
L’histoire de l’€urope n’est que l’histoire de l’amour de l’€. Ce ne fut que l’histoire de l’avortement naturel d’un monstre non viable, conçu par le cerveau débile d’un vieil auvergnat vaniteux qui fut le premier Président de l’avortement des Français et des Françaises à partir du 17 janvier 1975, secondé intelligemment par la Ministre de la mort et/ou de la santé (c’est la même chose).
LA question d’actualité est la suivante : qui sera représenté sur les Nouveaux Francs de la Nouvelle France ?
La question est d’importance, car depuis le 11 septembre 2001, jour du Jugement de l’empire mondial du vol, de la cupidité et de la destruction, le gouvernement capitaliste mondial est en état de PANIQUE TOTALE. Leur devise est « toutes ces choses nous dépassent, feignons d’en être les organisateurs »tout en affichant une tête de sempiternels vainqueurs souriants. J’estime qu’ils ne méritent même pas d’être “giflés avec des entrailles de poissons pourris”.
Le peuple français a dit NON, le 29 mai 2005. L’abîme se creuse et il est désormais infranchissable.
Qu’est ce que vous ne comprenez pas ?