L'AFP a une façon étonnante de traiter l'information. Alors que le ministre de l'Intérieur italien, Angelino Alfano, a estimé que le recours aux mères porteuses est un crime qui devrait être puni au même titre que les crimes sexuels, l'AFP estime qu'il a dérapé.
La loi italienne considère le recours aux mères porteuses comme un délit passible de deux ans de prison et d'une amende allant de 300.000 à un million d'euros. Ce qui n'est pas assez :
"Nous voulons que le recours aux mères porteuses devienne un crime universel. Et qu'il soit puni par de la prison. Comme le sont les crimes sexuels".