La Cour de cassation a confirmé la relaxe de Jean Mercier, octogénaire poursuivi pour "non-assistance à personne en péril" après avoir tué sa femme, qui lui avait demandé "d'apporter des médicaments" et de la morphine, et de l'aider à les décapsuler. Il avait attendu alors son dernier souffle et appelé un médecin.
Condamné en première instance en 2015 à un an de prison avec sursis, il avait été relaxé par la cour d'appel de Lyon en novembre 2016.
Sa femme était adhérente à l'ADMD (Association pour le droit de mourir dans la dignité) et c'est un avocat de ce mouvement qui défend Jean Mercier.
La même association va pouvoir brandir ce jugement pour dénoncer l'hypocrisie de la loi actuelle et demander la légalisation de l'euthanasie. CQFD.
René Clémenti
C’est le crime compassionnel, avatar du crime passionnel.
Michael Jeaubelaux
A ce sujet comme pour bien d’autres… nous sommes soumis au “Gouvernement des juges”!
sanzanicroche
Dieu est amour , Il faut éviter dans un titre un brin raccoleur l’amalgame avec les violences faites aux femmes
ici le cadre est plus large et il aurait tout aussi bien pu s’agir d’un mari euthanasié par son épouse
Protéger le vie envers et contre tout est certes une mission noble mais on a affaire ici a une situation humainement des plus difficile , comment , sans être soi même confronté a cela comprendre tout et être juste en n’étant pas sectaire ni dogmatique ni cultivateur de mort pour celui d’en bas ? Dieu jugera , prions pour eux .
lève-toi
Et son âme ? on s’en fout ??
palerma
Quand vous regroupez une bande de crapules, vous obtenez légitimement des crapuleries.