Ces chercheurs australiens de l’université de Melbourne sont logiquement : ils publient dans le Journal of Medical Ethics, revue internationale de bioéthique, un article intitulé :
Avortement après la naissance : pourquoi le bébé devrait-il vivre ?
Ils demandent la légalisation de l’avortement post-natal (sic, ne dites plus infanticide), si le bébé est handicapé ou si son existence menace le bien-être de la famille. Avec cet argument finalement imparable : il n’y a pas de différence morale entre un fœtus et un nouveau-né. Si l’avortement est autorisé, l’infanticide doit l’être.
C’est la raison pour laquelle l’avortement finira par être de nouveau interdit : il n’y a pas de différence entre un fœtus et un bébé.
F. JACQUEL
À l’époque des Romains, le père de famille n’avait-il pas le droit de vie et de mort sur le nouveau-né, en particulier si celui-ci n’était pas parfaitement conforme aux voeux du père.
Nous sommes en train de faire une marche arrière de 2 millénaires. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes…
Prout
Je doute qu’il y ait beaucoup de mères qui, après avoir accouchées, accepteront de tuer leurs bébés ! même si ce bébé a des défauts….. en vérité il y en aura même aucune, sauf si elles sont folles….
Michel Janva
Non, la source date du 03/10/2018 : http://www.genethique.org/fr/si-lavortement-est-autorise-linfanticide-doit-letre-des-chercheurs-australiens-reclament-lavortement#.W7Y3LVKYR8w
Michel Janva
Vu, merci.
Hélène Champagne
Bonjour, Michel Janva.
Il serait intéressant et utile et, pour tout dire, normal de donner les sources des articles que vous reproduisez : noms de leurs auteurs et des médias dans lesquels les infos ont paru ( journal, blog…) avec la date de leur diffusion.
Merci pour tout votre travail.
Michel Janva
Bonjour
Tout est en lien hypertexte. Il suffit de cliquer. Vous êtes sur un blog pas dans sur un ouvrage universitaire.