Présent a été le premier quotidien à dénoncer, dès 2005, l'ignoble ouvrage de Frédéric Mitterrand. L'un de ses journalistes, Caroline Parmentier, est interrogé dans Les 4 Vérités :
"Certains prétendent que l’on assiste à une chasse à l’homme.
Vous plaisantez? « Fred », l’intellectuel foisonnant et un peu précieux, l’homme de médias, a eu avec lui Le Monde, Libération, Le Figaro, Le Nouvel- Observateur, Le Point, Marianne, BHL, Fillon, Delanoë, Guéant, Guaino, Bertrand, Mélenchon et Dray et j’en passe, la haute dominance sans exception. Jamais à « Présent », nous n’aurions été chercher Frédéric Mitterrand sur ses pratiques sexuelles tordues, s’il n’avait pas étalé, complaisamment, dans son livre, ses goûts pour « les jeunes éphèbes », le « marché aux esclaves », le tourisme sexuel et l’exploitation sexuelle des garçons les plus pauvres du monde dans les bordels du Maghreb ou de Thaïlande. Et ce terme récurrent et extrêmement dérangeant de « gosse » qu’il emploie à quatre reprises dans le chapitre pour parler de ses « boys » et notamment du garçon qu’il sodomise dans une chambre de Patpong. Croyez-vous vraiment que la Thaïlande soit un pays où le client demande leur carte d’identité aux jeunes prostitués du « porno show » qui lui sont proposés, vendus, exposés sur une scène avec un numéro accroché à l’aine ? Au moment où les pays occidentaux font du tourisme sexuel une lutte prioritaire, cela n’a en rien découragé Sarkozy de le prendre à son gouvernement sur les conseils de Carla, nous dit-on, elle-même ambassadrice de la lutte contre le sida !"
Bourgignol
C’est vrai, le Frédéric Mitterand il fait pas de la chasse à l’homme.
Lui, c’est plutôt la chasse au gosse.
Au boxeur de 40 ans, bien sûr !
Sancenay
décidemment le feuilleton de Monsieur Miterrand passionne davantage les foules que celui des habiles “cannibals” de l’UMPC