Il semble que l’absence de père soit préjudiciable à l’enfant
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Bernard Mitjavile
Très bon commentaire par contre, le titre “il semble” me paraît un peu faible. Il y a suffisament de données policières et autres pour savoir que l’absence du père, d’autorité paternelle a effectivement des conséquences préjudiciables pour l’enfant. Mais peut-être s’agit-il d’humour.
Ludovic
Mais vous n’avez rien compris !!!
Dans une paire de femme, il suffit qu’un femme soit plus “masculine” ou que de temps en temps un copain passe pour résoudre le problème !
Véridique, c’est ce que de braves passants m’ont dit lorsque je tractais pour LMPT
dubois
Mon père est mort quelques mois avant ma naissance ; j’ai donc grandi sans lui ; ma mère était admirable, mais mon père m’a toujours manqué ; qu’on veuille ou non l’admettre, priver volontairement un enfant de son père ou de sa mère, c’est un crime.
alex
20 Minutes est un peu “réac” avec ce terme archaique “père” dans le titre…
C.B.
Dans 20 minutes internet http://www.20minutes.fr/societe/1160067-20130522-quand-pere-va , un article intitulé “Quand le père s’en va…”, un peu différent, mais allant dans le même sens:
“Une rupture du lien père-enfant qui peut avoir des conséquences lourdes” (propos d’Edwige Antier)
Freddie
A Ludovic. Oui, c’est désespérant. On se demande dans quel monde les gens vivent, pour avoir le cerveau aussi lavé. On se demande surtout comment ils ont vécu. S’ils ont eu un père, est-ce que ça veut dire qu’ils n’en ont rien à faire ? S’ils n’en ont pas eu, est-ce que ça veut dire que ça ne leur a pas manqué ? Je suis ahurie par le côté « théorique » des déclarations de certaines personnes. On dirait que ces gens n’ont aucun vécu personnel.
Woody
A lire à ce sujet, l’excellent livre du psychanalyste canadien Guy Corneau : “Père manquant, fils manqué”