Un journaliste du Point dit à Robert Ménard qu'il passe pour un facho :
"Moi, un facho ? J'ai fondé Reporters sans frontières, je me suis battu contre la censure et je serais un facho ? Parce que je me déclare plus du côté des victimes que des agresseurs, parce que je suis pour le rétablissement de l'autorité parentale, ça ferait de moi un facho ? Parce que je ne me battrais pas pour empêcher la condamnation à mort de Marc Dutroux, je serais un facho ? Eh bien, dites-moi, on est un sacré paquet de fachos en France ! J'ai été viré de RTL parce que j'ai dit que j'étais d'accord avec certaines idées du Front national et que j'estimais anormal qu'un parti qui pèse de 15 à 20 % dans l'opinion n'ait pas de représentants au Parlement. Qu'on s'entende bien, je ne vote pas pour le Front national. Et on me vire à cause de ça ! Quand je vois que Christopher Baldelli (le patron de RTL, NDLR) ose, en cette rentrée, parler d'"impertinence" sur RTL… Le monde du journalisme vit coupé du pays réel. On parle en euphémismes. Moi, je fais avec la vie ! Et je fais partie de ceux que ça ne gêne pas d'aller voir. La vérité, c'est que Sud Radio gêne RTL, RMC et Europe 1."
l'aristo
Toujours cette police de la pensée qui donne les bons points, sans jeu de mot.
Albin
Facho , fasciste , c’est l’injure qui tue!
Celui qui la reçoit ne s’en remet pas. Qu’il le veuille ou non , médit ou calomnié,il est désormais ostracisé.
Ceux qui seraient tentés de défendre l’injurié savent qu’à coup sûr l’épithète leur sera accolé.Adieu alors la société des bien pensants!Ils sont les lépreux des vingtième et vingt et unième siècles de la société française.
Mais les enfants nous rappellent ” que c’est celui qui le dit qui l’est.”
K.
Ca fait furieusement penser à la chanson “les démagos” de JP Mefret!
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Depuis que ma mémoire existe,
Je vous ai entendus vanter
Toutes les solutions marxistes
Au nom des peuples à libérer.
Mais quand le jour maudit arrive
Que vos régimes sont au pouvoir,
Le pays part à la dérive,
Et puis se lève le soleil noir.
Vous allez me traiter de réac’
Vous allez dire que je suis facho.
Mais vous n’ me filez pas le trac,
Vous, les pros de la démago,
Je sais ce que valent vos mots.
Le sang qui coule sur Pnoh-Pehn
A pris sa source dans vos esprits.
Vous avez fait germer la haine
En soutenant Khomeiny.
Vous êtes tous responsables
De ces horizons sans espoirs,
Et vos consciences de coupables
Portent la tâche du soleil noir.
Vous allez me traiter de réac’
Vous allez dire que je suis facho.
Mais vous n’ me filez pas le trac,
Vous, les pros de la démago,
Je sais ce que valent vos mots.
Avant de reprendre vos plumes,
Pour creuser de nouveau abimes,
Traversez les rideaux de brume,
Venez dénombrer vos victimes.
Ca vous évitera d’écrire
Pour faire pardonner vos mouroirs.
Je n’savais pas que ce serait pire
Lorsque se lève le soleil noir.
Vous allez me traiter de réac’
Vous allez dire que je suis facho.
Mais vous n’ me filez pas le trac,
Vous, les pros de la démago,
Je sais ce que valent vos mots.
Vous allez me traiter de réac’
Vous allez dire que je suis facho.
Mais vous n’ me filez pas le trac,
Vous, les pros de la démago,
Je sais ce que valent vos mots.
Moi, je ne suis pas un réac’
Moi, je ne suis pas un facho.
Et je ne crains pas vos attaques,
Vous, les pros de la démago,
Soldats de l’armée des Charlots.
Je sais ce que valent vos mots,
Soldats de l’armée des Charlots.
Bernard Mitjavile
Bonne chance à Robert Ménard, sa façon de relancer un sujet est parfois lassante mais il mène le bon combat contre le politiquement correct et les lois de censure (Gayssot et compagnie). C’est triste de voir qu’il est si seul parmi tous ces journalistes qui font semblant de laisser s’exprimer les auditeurs tout en contrôlant les intervenats et censurant ce qu’ils veulent dire à l’antenne.
V.
Notez qu’on arrive à bout de ce mot, bientôt, au second degré, un facho sera un homme respectable, sur de ses convictions morales et intègre. Il n’y a plus grand chose à faire pour abattre ce mot, sauf à s’en glorifier humoristiquement.
Bientôt la même pour “raciste”?
Rom Dyli
La manière dont s’exprime M.Ménard et les mots qu’il utilise, on peut voir tout de suite que ses origines intellectuelles sont de gauche. Il emploie des mots vides de sens.
Cyrano
En même temps, ils ont Zemmour sur RTL.
M’est avis qu’ils ont eu peur que ça fasse trop avec Ménard…
raphael charles
Les paroles de Jean Pax Mefret c’est bien mais le clip audio c’est encore mieux !
C’est ici sur http://cril17.fr/
Ciel ! Les fachos débarquent et la ramènent, Ménard aidant !
Corso
Le fascisme est la forme autoritaire simple de l’idéologie socialiste dite marxiste.
Le communisme est la forme criminalisée hystérique et totalitaire (ou à vocation) donc à l’échelon d’une nation entière, de l’idéologie socialiste.
Le socialisme politique est la forme criminalisée ponctuelle de sa propre idéologie, elle vise uniquement à prendre le pouvoir pour en tirer bénéfice financier.
Le mot facho désignant celui qui est fasciste ne concerne en rien les catholiques mais au contraire en est l’inversion de pensée.
Le fascisme est principalement de gauche. En 1931 tous les écrits communistes (qui ont inventé ce mot sur la base du mouvement politique italien du même nom) désignaient les socialistes du moment sur le vocable de “social-fascisme”.
Ils ont ensuite abandonné ce qualificatif lorsqu’ils se sont alliés avec les socialistes pour l’élection suivante sur les ordres de Staline, ceci afin de préparer l’alliance de la seconde guerre mondiale avec un autre socialiste : Hitler.
Le qualificatif devenu insulte (qui est régulièrement condamné comme telle) a alors été repris à l’encontre des ennemis de ce groupe socialo-communiste, quel qu’il soit.
On a depuis longtemps fait croire que la droite était “fasciste” ce qui n’a aucun sens.
La collaboration de la seconde guerre mondiale, on le sait, a été le fait dans une période complètement confuse principalement des socialistes d’abord normalement les premières années puis pour ceux qui n’ont pas accepté de suivre la rupture d’avec l’URSS par la suite et, outre les criminels ordinaires, de ceux qui étaient contraints de poursuivre leur activité pour survivre avec leur famille.
A la libération le terme de fasciste a été attribué à ceux qui n’avaient pas adopté l’idéologie dominante, socialo-gauliste, lors de la seconde période de guerre en oubliant les traîtres idéologiques à leur pays de la première période également pacifistes accomplis.
Il a alors été décidé que tous ceux là seraient de droite, d’extre droite ou Pétainistes.
On a oublié dans le même mouvement que le gouvernement français de Pétain n’était pas de droite mais d’une union politique du moment principalement à gauche ou formés de radicaux, c’est à dire d’anti-catholiques.
Comme le fait remarquer Robert Ménard ce terme aujourd’hui n’a donc plus aucun sens.
Beaucoup comme lui ont cependant été trompés dans le passé par les mensonges de la république et ont cru à la présentation “historique” qui leur était faite. Ils ont fondé leur position politique sur cette base et par exemple accepté et justifié le vrai (et plus que) fascime de Pol Pot, de Mao (débuté dans les années 50) et plus pratiquement pour la France les assassinats socialistes des “années de plomb” des années 70.
Le procès du socialisme reste à faire.