En mars 2012, quand un islamiste a tué des enfants juifs à Toulouse, j’ai dit “c’est pas ça l’islam”.
En janvier 2015, quand des islamistes ont tué des journalistes et dessinateurs, j’ai dit “je suis Charlie”.
En novembre 2015, quand des islamistes ont tué une centaine de personnes au Bataclan, j’ai dit “vous n’aurez pas ma haine”.
En juin 2016, quand un islamiste a tué un couple de policiers à Magnanville, j’ai dit “j’aime les flics”.
En juillet 2016, quand un islamiste a tué à Nice 86 personnes (dont des enfants) un 14 juillet, j’ai dit : “la République reste la plus forte”.
Le même mois, quand deux islamistes ont tué un prêtre pendant sa messe près de Rouen, j’ai dit : “il faut un dialogue entre les religions”.
En avril 2017, quand un islamiste a tué un policier sur les Champs-Elysées, j’ai dit “il ne faut pas faire d’amalgame. C’est ce que veulent les terroristes”.
En octobre 2017, quand un Tunisien en situation irrégulière a tué 2 jeunes femmes à Marseille, j’ai dit “il ne faut pas faire d’amalgame avec les migrants”.
En mai 2018, quand un Tchétchène a tué une personne au couteau et en a blessé quatre autres, j’ai dit “c’est un déséquilibré”.
En octobre 2019, quand Eric Zemmour a tenu un discours à la “Convention de la droite”, j’ai dit “Le Figaro doit virer ce type. Il est dangereux”.
En octobre 2023, quand des islamistes sont venus pour m’égorger, j’ai appelé “à l’aide”… personne n’est venu.
Source pour la liste des attentats
