Le conseil national de l’Ordre des médecins (Cnom) a décidé de poursuivre devant la juridiction ordinale trois responsables du syndicat des gynécologues obstétriciens de France (Syngof) qui avaient brandi en mars la menace d’une grève des avortements pour faire pression sur le gouvernement.
“Le droit à l’IVG est un acquis majeur des femmes” qui ne “saurait être mis en balance comme moyen de faire aboutir une revendication syndicale”.
Les trois responsables visés par la plainte de l’Ordre sont l’auteur de la newsletter et ancien président du Syngof, le Dr Jean Marty, son successeur, le Dr Bertrand de Rochambeau (qui avait déjà déclaré que l’avortement est un homicide), et la secrétaire générale du syndicat, Elisabeth Paganelli. Ils seront jugés en première instance par les chambres disciplinaires de leurs régions respectives, puis, en cas d’appel, par la chambre disciplinaire nationale.
Ainsi règne la religion du sacrifice des enfants à naître : ceux qui refusent de sacrifier aux idoles sont bannis de la Cité.
Michel
C’est donc le Conseil du Désordre des médecins, dont les membres dirigeants ont visiblement oublié le serment d’Hippocrate : voilà des amnésiques et/ou des parjures. Bientôt, les courageux médecins syndicalistes pourront être poursuivis par ces disciples du docteur Mengele quand ils menaceront de faire la grève de l’euthanasie, ce “droit (bientôt) acquis majeur des hommes ” … assimilés à du bétail d’abattoir.
sivolc
Conseil national de l’Ordre des médecins totalement dévoyé!
Denys Perrin
Si seulement la motivation des médecins était l’objection de conscience, mais non, c’était
“pour se faire entendre du ministère de la Santé concernant le fonds de garantie de la profession. Il s’agissait notamment de régler le cas de quinze médecins condamnés à de lourds dommages pour erreur médicale etc. etc.”
Triste.
chm
IVG est un droit mais celui-ci ne stipule pas de devoir tuer l’embryon ou le fœtus. (d’ailleurs, il est écrit que la personne doit s’informer des méthodes d’IVG)
– A l’administration de trouver un moyen pour permettre l’IVG sans tuer l’embryon ou le fœtus
(sans ce cas, un médecin pourra intervenir en respectant la vie et donc, ses engagements)
– Si la seule et unique option reste la mise à mort de la vie, alors il s’agirait de la mise en application d’une loi imposant la sentence, une peine et donc et dans ce cas, le travail pour un bourreau et non un médecin. S’agissant d’un bourreau, Le conseil national de l’Ordre des médecins n’a pas son mot à dire… Par contre, cela revient à une peine de mort (mettre un terme à une vie) alors que la peine de mort est interdite en France !!!
Papa
Ils ont osé menacer de ne plus faire d’avortement,
ils sont poursuivis
Ils s’exposent à des sanctions : allant jusqu’à l’interdiction temporaire ou permanente d’exercer!
Donc s’ils sont lourdement condamnés cela confirmera leur position de ne plus faire d’avortement!
LANASPRE
Compte tenu des nombreuses prises de position du CNOM depuis maintenant un moment,il est plus que probable qu’il soit infiltré par les “Freres 3P”. Mais comme l appartenance à la secte reste secrete du peuple, cela demeurera ainsi encore longtemps.
Lorsque que les médecins élisent leurs collegues dans les différentes instances régionales ou nationales,cette “particularite” n’est pas mentionnée dans leur profession de foi….c’est bien regrettable!
DUPORT
Il est interdit de menacer d’enrayer la machine à exterminer le peuple français.
Le génocide en cours doit se poursuivre à son rythme actuel et nul ne doit le ralentir.
Tout cela avec la bénédiction du “conseil de l’ordre” cette honteuse institution que tout médecin normal devrait condamner, récuser et quitter.