Ce mercredi était présenté le programme d’éducation à la vie affective et sexuelle devant le Conseil supérieur de l’éducation, en vue de la rentrée prochaine.
Le totalitarisme s’exprime tranquillement, par la voix de Vincent Haye, enseignant de SVT à Ste-Maure-de-Touraine et membre du syndicat SNES-FSU :
“il se dit indigné par une des dispositions du programme, qui consiste à prévenir les parents des cours à venir et de leur contenu”
Australe
Quand on n’est plus capable d’enseigner on formate les esprits.
Que l’éducation nationale reviennent à sa vocation première qui est d’apprendre à lire, à écrire, à compter et à réfléchir et les parents pourront éduquer.
AFumey
Une question me vient à chaque intervention de ce type: ceux qui prônent ces mesurent ont-ils des enfants? Si oui, combien? de quel âge? et quel est leur équilibre affectif et mental?
L’impression qui ressort est tout de même qu’une majorité répondrait par la négative à la première question. Il n’est pas possible, pour un parent confronté aux variations infinies de réactions souvent imprévues de leurs enfants, d’édicter de tels non-sens.
Cro-Magnon
ces mesurENT ??????????????????????????????????
Par respect pour le français et pour vos lecteurs, merci de faire un petit effort !
C.B.
Quelles sont les disciplines pour lesquelles on ne voit guère quelles pourraient être les réticences des enseignants à “prévenir les parents des cours à venir et de leur contenu”: mathématiques? lecture? grammaire? musique? éducation physique et sportives? géographie? arts plastiques?
PascaleBrebis
Un «Programme d’éducation à la vie affective et sexuelle» ne devrait surtout pas aborder «la vie affective» porte ouverte à toutes les idéologies woke et aux sensibilités des intervenants. Il devrait faire l’objet de deux ou trois séances d’une demi journée tout au plus par année et être dispensé à des groupes séparés garçons/filles (comme pour le sport) entre 10 et 12 ans, par des adultes externes obligatoirement hétéros et sérieusement formés ; un homme pour les groupes de garçons et une femme pour les groupes de filles, afin de favoriser les échanges ; une urne de questions anonymes pourraient être disponible dans les jours précédents. Ce programme ne devrait aborder que les connaissances scientifiques reconnues, la pornographie et les MTS. Si ces séances pouvaient contribuer à conscientiser les jeunes filles sur ces périodes où elles sont plus enclines aux câlins (ovulation) pour éviter grossesse et avortement précoces ; et responsabiliser, valoriser les garçons sur leur rôle de gentleman, ce serait un excellent acquis social.
P.S. : Un peu succinct pour un tel sujet, perfectible sûrement, mais l’essentiel y est.
Meltoisan
Ils doivent laisser ce sujet aux cours de sciences naturelle qui explique qu’il y a des hommes (mâles) et des femmes (femelles); la nature étant bien faite, sauf de très rares exceptions.
ruaux
Les QI de nos gouvernants sont très très bas !!!!!!!!!!
Moussa seulement diplômé d’une école de Lille donc rien
Borne :ingénieur des Ponts ;;
Braun-Pivet ; capacité en droit
etc etc