Lu sur Gènéthique :
"13 responsables européens de programmes de recherche sur les cellules souches embryonnaires humaines, dont le professeur Marc Peschanski, se disent opposés à une interdiction de brevetage de procédés utilisant ces cellules dans une lettre ouverte, parue le 28 avril 2011, dans la revue Nature. Ils critiquent le récent avis de l'avocat général de la Cour de Justice de l’Union européenne concernant la brevetabilité et l’utilisation à des fins industrielles ou commerciales de l’embryon humain et des cellules souches embryonnaires humaines. Selon eux, une telle interdiction risque de mener l'industrie pharmaceutique, privée de propriété intellectuelle, à se retirer du marché européen pour développer ces techniques à partir de cellules souches embryonnaires humaines."
gégé
Eh bien bon débarras, débarassez-nous le plancher, Pechanski et toute sa clique, on ne vous regrettera pas, allez faire vos méfaits ailleurs, aux Etats-Unis, par exemple, et que l’on entende plus parler de vous. On vous entend beaucoup trop dans les médias. A bon entendeur, salut.
Ghalloun
Quand on soutient l’erreur, on fuit en avant : c’est bien pour ça que le péché est un esclavage. Ca marche aussi sur le plan intellectuel. CQFD.
Kantz
Je ne peux pas m’empêcher de penser au combat contre les brevet sur les logiciels, (en fait contre le brevetage des idées pures, la capture des idées par les world-company) mené par la communauté du logiciel libre.
J’ai toujours eut le sentiment que c’était un combat fondamental pour le bien.
Cette histoire de breveter les procédé utilisant les cellules humaines me le confirme.
NB : en Europe, les brevets ne peuvent concerner que les procédés innovants, metant en jeux de la matière et de l’énergie. Pas une idée pure comme une démonstration mathématique ou un code informatique (soumis au droit d’auteur).
xc
Quelle est cette photo? C’est horrible, des êtres humains sans sépulture !
Sancenay
le brillant “humaniste” Peschansky va-t-il appeler au secours Monsieur Attali , ou Monieur Léonetti pour résoudre le cas épineux du Procureur Yves Bot qui oserait se mettre en travers de l’industrialisation de la reproduction humaine ?