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Impossible n’est pas français

Si quelques matheux pouvaient tenter de résoudre cette équation :

"Moins de 1 % de la population mondiale consomme et finance (ce sont deux façons complémentaires de voir la question) environ 15 % de la protection sociale mondiale, tout en devant rembourser 6 % de la dette publique totalisée dans le monde."

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7 commentaires

  1. Il ne faut plus se poser trop de questions !
    Les gouvernements des pays occidentaux ne travaillent plus que pour les banques privées, absolument pas pour le bien de leurs habitants. Il faut dire que les banques centrales occidentales peuvent manipuler n’importe quel marché. Et elles ne s’en privent pas, particulièrement avec l’or, pour qu’il n’augmente pas. Elles vendent de l’or-papier, mais pour 100 vendus, qu’un seul est réel. Chris Powell explique très bien ces manipulations :
    http://www.youtube.com/watch?v=GSaJeeDvZS8
    Pour Harvey Organ (Harveyorgan.blogspot.com) nous allons assister à un effondrement du dollar et à une montée du prix de l’or, de l’argent et du pétrole en décembre 2014. A moins que les Américains aient réussi à commencer une 3ème guerre mondiale, la seule solution qui leur reste.
    http://www.youtube.com/watch?v=aZwSiHBxm0c

  2. je ne vois pas où est le problème!?
    cette affirmation n’est d’ailleurs pas une “équation” puisque les variables (dette, sécu, richesse, population) sont indépendantes.

  3. En lisant l’article, on comprend l’équation. En fait les Français qui représentent 1% de la population mondiale avec 65 millions d’habitants, produisent 4% du PIB mondial. Voilà pourquoi nous sommes les champions de la productivité. Le PIB est en fait le cumul des chiffres d’affaires auxquels on soustrait les consommations intermédiaires directes. C’est une mesure de l’activité de l’entreprise et des “marges” des entreprises avant que celles-ci ne payent les salaires les impôts et ne prennent en compte les amortissements. Ce n’est pas du tout un bénéfice mais un flux d’activité “brut”. La somme des valeurs ajoutées, donc des flux bruts hors intérêts des dettes, salaires, charges sociales et amortissements et cela donne donc le PIB mondial.
    En fait les dépenses seules de cotisations sociales mondiales sont de 4500 milliards d’euros. Nous en sommes apparemment à 15% de cotisations sociales mondiales de ce total.
    En outre cela pompe en fait 33% de notre PIB.
    6% de la dette mondiale est représentée par la France avec ses 2000 milliards d’euros de dettes. La dette totale du monde est en effet de 35 000 milliards d’euros environ.
    Il faut voir aussi la capacité de remboursement d’un pays. Car les économistes et financiers considèrent que passée 90% du PIB la dette d’un pays devient très difficile à rembourser. Ce n’est pas parce qu’on a 6% de la dette mondiale alors que les américains en ont 26% qu’on est sorti d’affaire. L’économie est aussi liée à la culture ou à la civilisation. Enlevez les hommes qui travaillent ou qui ont un certain esprit pour le travail, l’économie s’effondre. Le grand remplacement sera la cause de l’effondrement de l’économie car l’économie est fondée sur la confiance. Les vols deviennent exponentiels dans le pays. Les violations du 8° commandement à répétition et la spoliation des classes moyennes avec cette injustice criante faite aux familles
    auront raison de l’idéologie mortifère socialiste.

  4. Merci à Etienne Merlin.

  5. Oui, grand merci M. Merlin

  6. Tout cela n’a en réalité que fort peu d’importance si nous sommes en mesure de payer. Le montant de la dette, aux taux qui sont ceux en cours actuellement n’aurait aucune importance si elle était, ou avait été investie.
    Le rapport qui est calamiteux dans ces chiffres et que l’article n’évoque pas, c’est que l’objet de la dette EST le financement des dépenses sociales. Or, comme notre croissance est plombée par nos prélèvements obligatoire, elle plafonne en dessous du taux d croissance. C’est à dire que mécaniquement les recettes de la collectivité ne croissent aussi vite de les dépenses, donc qu’il faut soit augmenter les recettes (politique de pression fiscale que nous connaissons bien) soit baisser la dépense publique. Or, dans ce dernier cas, le plus gros poste est… la protection sociale. Je me permets donc d’être critique à l’égard de cet article du Figaro qui ne met pas en relation l’un avec l’autre et laisse entendre que malgré sur nous soyons un pays hyper protégé par les prestations sociales, nous ne sommes pas parmi les plus endettés. Nous sommes LE pays à risque dans les toutes proches années. NOtre dette est une dette de fonctionnement, notre pression fiscale est la plus élevée du monde, notre croissance est une des pires de l’OCDE. La protection sociale d’aujourd’hui est financée par l’endettement (33% des recettes de l’Etat et non 4% du PIB, je ne le répéterai jamais assez, comparons ce qui est comparable, le PIB c’est le CA de la France, l’Etat est obligé d’emprunter 1€ à chaque fois qu’il dépense 3), donc financée par nos enfants et petits enfants.
    Bon, remarquez il y a des économies à faire, peut être…. http://maviemonargent.info/2014/pourquoi-ne-pas-reserver-les-prestations-sociales-aux-citoyens-francais/

  7. Line,
    Vous avez raison et voilà “certainement” la cible des dirigeants https://www.youtube.com/watch?v=2NDCI3UnLic .
    La question qui me taraude est comment les bons cathos droitiers ont pu servir à ce point de boys au système avant de lui servir de chair à canon.
    La grâce et le devoir d’état même quand c’est sincère, au delà même des convenances petites bourgeoises des Rastignac des maitrises scouts qui veulent se placer, laissent pantois quand on regarde ce à quoi ont participé ces gens…
    Aux USA un des patrons de la NSA avait expliqué ses fonctions par l’application du principe de guerre juste etc… et se présentait comme bon catholique ayant étudié Saint Augustin.

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