A l’exception de Présent :
[…] Pourtant, la victime étant cette fois-ci un journaliste de la très politiquement correcte France 3, certains auraient pu croire que cette agression allait immédiatement entraîner une levée de boucliers de la profession, comme celle-ci a si bien su le faire lors des manifestations de Gilets jaunes. Mais c’était compter sans leur inénarrable veulerie dès lors qu’il s’agit de dénoncer les agissements délictueux et/ou criminels de ce tabou suprême qu’est devenu l’islam en France.
Révélatrice, cette agression l’est aussi de la conquête rampante de la France par l’islam, de ces morceaux de plus en plus nombreux de notre pays qui échappent à l’autorité de l’Etat au profit de celle des imams et de la charia. C’est en effet en voulant prendre quelques images lundi après-midi devant la mosquée As-salam de Petit-Couronne, non loin de Rouen, pour illustrer son reportage sur le procès de l’imam « local », Mohamed Baraeikechighaleshi, que ce journaliste a été violemment agressé. Un imam « local » dont les médias nationaux ont, là encore, assez peu parlé, mais dont le parcours et les agissements sont pourtant édifiants : Iranien de 39 ans, installé en France depuis 2016 avec le statut de « réfugié politique », cet individu, devenu imam sur notre sol, a été condamné lundi par le tribunal correctionnel de Boulogne-sur-Mer à trois ans de prison, dont un an avec sursis, pour avoir facilité des mois durant des traversées de clandestins vers la Grande-Bretagne, notamment en achetant et en livrant des bateaux pneumatiques sur lesquels embarquaient des groupes de migrants. Condamné avec lui à 18 mois de prison, dont neuf avec sursis, mais non incarcéré : Mouhamed W., un Sénégalais de 29 ans, fidèle parmi les fidèles de la mosquée de Petit-Couronne, qui servait, lui, d’intermédiaire entre l’imam et les passeurs… Bref, un scandale qui justifiait amplement ce reportage, surtout dans un pays si attaché à la sacro-sainte liberté de la presse.
Mais pas pour les habitués de la mosquée de Petit-Couronne qui, bien décidés à chasser de « leur » territoire les infidèles un peu trop curieux, ont d’abord bousculé et mis au sol le journaliste, ont dégradé puis dérobé sa caméra, puis ont fini par l’emmener manu militari à l’intérieur de la mosquée, où ils l’ont séquestré jusqu’à ce que la police réussisse à les convaincre de le relâcher. Blessé et choqué, le journaliste, qui s’est vu prescrire une incapacité totale de travail de cinq jours, a immédiatement déposé plainte pour coups et blessures, vol et dégradation. Tandis que Pascal Prache, procureur de la République à Rouen, a annoncé qu’une enquête avait été ouverte pour « vol avec violences commis en réunion » et que le principal auteur des faits, interpellé par les policiers, avait été placé en garde à vue. Quant à la direction régionale de France 3… Dénonçant vaguement « des entraves régulières à la pratique de notre profession », elle a déclaré envisager – mais envisager seulement – de « se constituer partie civile ». Courage, fuyons…
2018
On pourrait essayer le même scénario à St Nicolas du Chardonet juste pour voir?
Collapsus
Je dois reconnaître une certaine satisfaction à lire ces lignes : à coups de babouches sur la caboche, les idées des journaleux vont peut-être se remettre à l’endroit.
DUPORT
En même temps ce sont ces même médias qui favorisent l’immigration depuis des lustres…
Grâce à eux de nombreux citoyens français ont été sauvagement agressés alors il est normal que leur tour vienne.
De toute façon ce n’est que le début, bientôt ils se feront égorger comme les autres, mais eux on ne les plaindra pas.
Loulou
Peut-on seulement imaginer la déflagration atomique qui aurait eu lieu dans tous les médias de France et de Navarre si des catholiques avaient tabassé un journaliste osant filmer leur Église paroissiale ?
Mais là, rien…
philippe paternot
silence des médias aux ordres
silence assourdissant des curés et év^ques quand il s’agit d’églises, calvaire ou cimetières vandalisés
chut! pas d’amalgame, soumission à l’islam