Lu sous la plume de Pierre-Olivier Arduin dans la Nef de février :
" (…) Les données examinées dans la littérature scientifique prouvent en effet, à l’encontre du prêt-à-penser dominant, que la pilule classique composée d’hormones oestrogènes et progestatives agit fréquemment comme un abortif. Comme la pilule du lendemain ou le stérilet, les contraceptifs hormonaux les plus usités dans le monde industrialisé présentent, outre les mécanismes habituels de blocage de l’ovulation, une action d’interception du jeune embryon. En atrophiant la muqueuse utérine, la pilule empêche son implantation. La fonction anti-nidatoire de la contraception hormonale n’est donc qu’un avortement précoce réalisé à travers des moyens chimiques entre la fécondation et le moment – environ au septième jour de son développement – où l’enfant à peine conçu vient se nicher dans l’utérus. Occulté méthodiquement depuis de nombreuses années, ce fait est complètement ignoré du grand public.
Le professeur Castellvi rappelle également ce que nous avions déjà dit ici même : un département de l’Organisation mondiale de la santé, l’Agence internationale de recherche sur le cancer, a classé le 29 juillet 2005 la pilule dans le groupe I des agents cancérigènes. En outre, le déversement de tonnes d’hormones dans l’environnement pollue substantiellement les nappes phréatiques ; leur dispersion pourrait expliquer l’augmentation de la stérilité masculine. Ce n’est pas tout. Dérivées de la cortisone, les molécules employées favorisent les infections sexuelles au premier rang desquelles les maladies à Chlamydiae, redoutable bactérie qui entraîne nombre de stérilités féminines. La pilule jouerait donc un rôle loin d’être négligeable dans le recours exponentiel aux fécondations in vitro que l’on observe dans nos pays occidentaux (…)
Insistant sur le caractère plus que jamais prophétique du Magistère en ce domaine, il demande solennellement « à l’Église de créer une commission spéciale Humanæ vitæ ». Pour faire bouger des lignes que l’on croyait immuables et reconquérir les esprits de nos contemporains."
yiannis
“leur dispersion pourrait expliquer l’augmentation de la stérilité masculine”
POURRAIT ?
Croyez-vous vraiment que, diffuser de pareilles absurdités qu’aucune étude scientifique sérieuse ne vient confirmer, soit le meilleur moyen pour “reconquérir les esprits de nos contemporains.”?
Quant aux nappes phréatiqes, le déversement du “pipi des dames qui prennent la pilule” n’est certainement pas la plus grave pollution menaçant leur pureté.
[Ce ne sont malheureusement pas des absurdités. Nous l’avions déjà évoqué :
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2009/01/la-pilule-contraceptive-pollue.html
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2007/05/la_pilule_dange.html
PC]
pmc
Pour ce qui est de l’effet abortif de la majorité des pilules dites anti-conceptionnelles, comme du stérilet, je crois bien que le Docteur Dor l’avait dénoncé depuis plus de dix ans, au moins !
Tant mieux si ces vérités sont aussi portées à la connaissance d’un maximum de monde par d’autres…
Monrose
Déjà aux environs de 1975, au centre de recherches maritimes des Embiez ( Ricard), on disait aux enseignants de Sc. nat, qu’une des pollutions préoccupantes de l’eau de mer était les oestrogènes issus des urines et donc de la pilule.
Dès le début toutes les critiques invoquées ont été faites. Quant au stérilet, outre son action mécanique, il y a la diffusion du cuivre. Le modèle Nova T 200, qui ne contenait pas assez de cuivre et dont l’efficacité chutait à 94% après trois ans (il était pourtant posé pour 5 ans), a été récemment retiré du marché.(wikipedia)
Où va ce cuivre ? faut-il rappeler la maladie de Wilson: La maladie de Wilson est une maladie génétique secondaire à une accumulation de cuivre dans l’organisme et se manifestant par des atteintes du foie et du système nerveux.
Annette
Il me semble que ce que l’on a du mal à quantifier, c’est le degré d’infiltration de la culture de mort dans notre pauvre humanité à l’heure actuelle. Autant dans les esprits “moutons” que dans l’environnement chimique, cette culture mortifère, nécrosante, silencieuse et pernicieuse s’infiltre. L’ampleur du désastre est telle un gigantesque abcès nauséabond maquillé si bien qu’il passe inaperçu par une majorité de nos contemporains.
La technique des forces des ténèbres pour obtenir un tel résultat auprès des masses : faire passer pour bien ce qui est mal et inversement.A présent, le raffinement dans l’horreur et la tromperie et à son comble!!!