De passage à Paris, le patriarche d'Antioche et de tout l'Orient s'est confié à l'AED sur la tragédie irakienne :
[…]Nous avons été menacés d’éradication il y a cinq mois lorsque Mossoul a été envahie par les terroristes imposant leur charia. Puis, il y a plus de deux mois, la plaine de Ninive. Nous, les syriaques catholiques, nous avons été très touchés. Nous avons tout laissé. Nous sommes réfugiés dans notre propre pays. Alors, aujourd’hui, il faut continuer à redonner aux réfugiés la confiance et le courage, l’espoir qu’un jour ils pourront retourner chez eux. Mais ce jour parait de plus en plus irréel et c’est ce qui fait que le moral est devenu de plus en plus bas."[…]