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Immigration

« Irish Lives Matter ! »

« Irish Lives Matter ! »

D’Alain Sanders :

« Irish Lives Matter ! » (« Les vies irlandaises comptent ! »), « Irlande lève-toi ! », « « Dégagez-les ! »… Les lecteurs de ce blog et de Reconquête (qui a consacré un de ses récents numéros à la résistance des Irlandais face au Grand Remplacement), ne seront pas étonnés de ce qui s’est passé à Dublin dans la nuit du 23 novembre dernier.

Non pas des « émeutes de hooligans d’extrême droite » comme le disent et le répètent les médias des têtes molles, mais un salutaire réflexe d’auto-défense face à la menace d’envahissement in progress. A Crépol, des bougies, des nounours, des lâchers de ballons… A Dublin, une nation debout. Pour dire qu’elle ne se laissera pas faire par les racailles.

Les faits d’abord. Jeudi, en début d’après-midi, une attaque au couteau perpétrée par un migrant algérien (imprudemment naturalisé irlandais…). Cet homme, d’  « origine étrangère » donc (comme consent à le signaler une presse irlandaise pourtant aussi pourrie que la nôtre), va poignarder cinq personnes (trois petits enfants, deux femmes) devant l’école gaëlique de Dublin, la Gaelscoll Colàiste Mhuire, située sur Parnell Square East. Il aurait fait plus de victimes si des passants n’étaient intervenus pour  le maîtriser et lui arracher un « grand couteau » (il y aurait une étude à faire sur la fascination morbide et mortifère exercée par les couteaux à égorgements sur certaines populations…).

En France, on aurait déployé l’habituel rituel « plus-jamais-ça » (bougies, nounours, cartes avec des petits cœurs, voir plus haut…) et la sempiternelle marche blanche (« dans l’émotion et la dignité » pour que les dhimmis médiatiques genre BFM TV n’y trouvent rien à redire).

En Irlande, l’île des héros, des érudits, des poètes et des saints, on a d’autres certitudes et même « celtitudes ». Et d’abord celle que la rue appartient à celui qui y descend. Dans les heures qui ont suivi l’annonce de cet attentat contre des femmes et des enfants irlandais, des braves gens et des gens braves sont descendus dans les rues de Dublin. On a bien sûr envoyé contre eux – le Premier ministre « irlandais » est un gauchiste ni chair ni poisson, une sorte de Macron de circonstance et une tache pour l’Irlande multiséculaire – les forces de répression. En vain. Au pays de Michael Collins, on ne recule pas.

Il y a des décennies que Dublin n’avait connu des mouvements de foules de cette ampleur. Ce n’est qu’un début. Ces manifestations traduisent l’exaspération – et le mot est faible – d’une population à qui les autorités gauchistes imposent, depuis deux ans, une proportion gigantesque de migrants. En octroyant à ces derniers des logements saisis par l’Etat (alors que les Dublinois de souche ne trouvent plus à se loger), des hôtels (près de 40% !) réquisitionnés pour loger lesdits migrants, des passe-droits (qui passent de plus en plus mal).

L’exotique – à tous égards – Premier ministre « irlandais » Leo Varadkar y est allé, comme à l’habitude, de sa haine rabique contre ce qu’il appelle des « hooligans d’extrême droite ». Il ne trompe personne. Il serait temps de le lui faire comprendre by hook or by crook et de ramener l’Irlande dans son héritage.

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