À l’occasion de la 46e session du Conseil des droits de l’homme, le secrétaire général de l’Onu, António Guterres, a tenu un discours visant à mettre en garde contre la résurgence du… « suprématisme blanc ». Il a notamment déclaré que
« les extrémistes — incluant les suprématistes blancs et néonazis — ont exploité la pandémie pour augmenter leur popularité au travers de la polarisation sociale, ainsi que de la manipulation culturelle et politique ».
Ces mouvements extrémistes constitueraient ainsi une « menace transnationale » à combattre puisque qu’elle serait « la première menace à la sécurité intérieure dans plusieurs pays ». António Guterres n’a pas souhaité préciser sa déclaration ni mentionner d’États pour étayer son discours. Reste que l’Onu semble terriblement inquiète du renouveau « nationaliste » que la pandémie aurait entraîné. Pour l’organisation internationale, ce sentiment aurait même pris la forme d’un « nationalisme vaccinal » à bannir. « À eux seuls, dix pays se sont partagé plus des trois quarts des doses de vaccin contre la Covid-19 administrées à ce jour », a déclaré le secrétaire général de l’Onu, fustigeant l’autoritarisme et le nationalisme. Pour lui,
« respecter les droits de l’homme en temps de crise permettra de construire des solutions plus efficaces et équitables en ce qui concerne l’urgence d’aujourd’hui ».
Ce sont les mêmes arguments que ceux utilisés par les islamo-gauchistes pour humilier l’Occident.