Lu dans Les 4 Vérités, cette réaction d'un lecteur :
"Les magistrats se plaignent du manque d’effectifs qui a entraîné la « faute de frappe » libérant un violeur récidiviste. On peut souligner qu’ils ne manquent pas d’effectifs lorsqu’il s’agit de poursuivre un policier qui a fait une « faute de frappe » sur un délinquant hostile. Question de priorité !"
MJ