Non, ce n'est pas la dernière phrase de Jean-Marie Le Pen. C'est du secrétaire d’Etat aux Sports, Thierry Braillard :
«Je suis gêné de voir des matchs où l’équipe ne compte pas un seul français! Ce n’est pas une opinion franchouillarde. Mais à quoi servent les centres de formation si nos jeunes ont l’horizon bouché et partent à l’étranger? Quoi qu’il en soit, le PSG c’est du très beau football.»
milan
En fait, machin (Braillard !) visait le seul “Français” alors sur la pelouse pour le PSG – Matuidi. Un “Français” à exigence basse, puisque à 0 goutte de sang français dans les veines (père et mère angolais). Il est vrai que nous avons bien un 1er ministre dans le même cas – 100 % étranger.
Clovis
Il suffit de ne pas les regarder ce matchs….
SD-Vintage
” si nos jeunes ont l’horizon bouché et partent à l’étranger” pour échapper à l’ISF et au super impôt sur le revenu
nemo
“Panem et circenses” … Autrefois on achetait des gladiateurs venus des “terra incognita” aujourd’hui ce sont des joueurs de foot ou de rugby .
On badigeonne tout ça de tricolore pour le populo …
Stephe
Ben quoi! on ne peut pas être membre d’un gouvernement qui met en place le Grand Remplacement au bénéfice du CAC40 et se plaindre de son efficacité dans le monde du sport ou l’on ne cesse de nous vendre de la diversité à la louche. Diversité qui de plus en plus exclue les autochtones, mais comme le but final est leur disparition au sein d’un vaste métissage se contrefichant des cultures locales ! non décidément Thierry Braillard est mal venue de se plaindre.
Jean
J’ai lu que de plus en plus de parents inscrivent leurs enfants dans des clubs de rugby, le football étant de plus en plus considéré comme un sport pratiqué par la racaille…
DUPORT
Une équipe à l’image de la France !
Luc
On ne devrait plus l’appeler l’équipe de France mais l’équipe Coca Cola ou l’équipe du Qatar….. Pourquoi mentir ?
cergy
Encore qui est rattrapé par le bon sens, il ne va pas durer !
Tout à fait d’accord avec Luc, il serait judicieux de donner le nom du sponsor à l’équipe de sport.
En effet, il n’y a rien de français, d’allemand ou d’italien dans les sports professionnels.
C’est simplement un “mercato” c’est à dire un marché aux esclaves, esclaves bien payés mais déracinés, exploités, conspués, vilipendés et enfin jetés.
Marchandisables et minables.