Avorter, oui. Soigner, non.
Âgée de 98 ans, la résistante Madeleine Riffaud a dû se rendre à l’hôpital Lariboisière à Paris pour un examen d’urgence. Elle y a passé vingt-quatre heures, avant d’être transférée dans une clinique privée. Elle a envoyé à La Croix un texte relatant son expérience de « l’état lamentable du secteur de la santé ».
cadoudal
les Gaulois sont gouvernés par une nomenklatura LGBTQ, qui se fout d’ eux.
elle est sur le pavois par la volonté du Veau d’ or et de ses grands prêtres.
Meltoisan
Et pendant ce temps-là, super Macron parade alors qu’il devrait rester tête baissée en évitant le regard des français. Il a presque tout raté ce qu’il a entrepris et continue à ruiner la France.
Energie, niveau de vie, hôpitaux et soins, immigration, sécurité, culture, libertés, … joie de vivre
Cro-Magnon
Plutôt que de jouer les redresseurs de tort à la tribune du “machin” dans une harangue d’une prétention phénoménale, il ferait mieux de balayer devant sa porte « de l’Élysée » en contemplant le tas de ruines qu’il est en train d’accumuler dans notre pauvre pays. Ce type est vraiment démoniaque et pervers.
LANASPRE
Des témoignages de ce type il y en a des centaines à travers tout le pays,ce qui est étonne toujours,comme pour le reste,c’est le mutisme généralisé de la “Presse” et surtout d’en nommer les responsables à savoir comme pour tout, les “technos”.
Combien de temps encore et combien de morts sur des brancards faudra t’il supporter avant que la population se soulève???? l hopital Français est MORT….
Dr C Dumon
La réponse de l’AP-HP mérite d’être connue.
Dans un communiqué paru ce mardi 20 septembre, l’AP-HP a donné sa version des faits, retraçant le parcours de Madeleine Riffaud. «La patiente s’est présentée seule en ambulance aux urgences de l’hôpital Lariboisière le 4 septembre 2022 à 12h10. Elle a été accueillie par l’infirmière d’accueil et d’orientation, enregistrée dans le circuit de prise en charge du service puis auscultée par le médecin senior à 12h25, lequel lui a prescrit un certain nombre d’examens. Les prélèvements biologiques ont été réalisés à 12h43 et un scanner a été effectué à 17h25. Dans la soirée, la patiente a été transférée dans le secteur d’hospitalisation de courte durée des urgences. Le 5 septembre au matin, après l’examen clinique du médecin, la patiente a été transférée vers un autre établissement de santé adapté à sa situation médicale», explique l’AP-HP
La personnalité de la plaignante est aussi à prendre en compte: résistante certes, mais avant tout stalinienne, femme de Pierre DAIX qui la trouvait gauchiste, journaliste à l’Humanité et soutien inconditionnel du vietminh, du fln.
Le témoignage est donc à analyser et à vérifier…
collinrem
Merci pour ces précisions intéressantes, qui aident à comprendre.
Si les urgences hospitalières sont effectivement dans un état lamentable malgré le dévouement parfois héroïque de ceux qui restent (j’en ai fait l’expérience il y a deux ans, ça ne s’est pas arrangé depuis…), cette personne exagère, visiblement pour des considérations idéologiques.