Communiqué :
"Jour de Colère a saisi ses avocats pour déposer une plainte pour diffamation publique contre Myriam Martin, candidate du Parti de Gauche à Toulouse.
Madame Martin, réagissant à la découverte de graffitis signés « Toulouse nationaliste » sur le trottoir, devant le local de son parti, a dénoncé dans un amalgame scandaleux l’existence de slogans à connotation racistes et les manifestants du Jour de Colère le 26 janvier 2014 à Paris. « Les auteurs sont les mêmes que ceux qui ont défilé le 26 janvier à Paris à l'appel d'un collectif Jour de colère », a dit à l'AFP Myriam Martin, ajoutant « Ça pourrait être une mosquée, une synagogue. On n'a pas envie que ça se termine à la Clément Méric ». Ses propos diffamatoires ont été relayés par de nombreux médias.
Outre qu’ils constituent une accusation sans preuve particulièrement grave, les propos de Madame Martin ne peuvent qu’évoquer d’autres accusations lancées à Toulouse il y a quelques mois, lors de la sanglante équipée du terroriste islamiste Mohamed Mehra. Déjà, à cette époque, des personnalités politiques et une certaine presse avaient lancé des accusations contre une soi-disant piste d’extrême droite immédiatement après les premiers assassinats. Comme pour Clément Meric, ce militant d’extrême gauche mort dans une bagarre de rue à Paris, les mêmes procédés de diabolisation sont à l’œuvre. Lorsque l’enquête de police a produit ensuite ses résultats, on s’est aperçu que le tueur de Toulouse était un islamiste fanatique et que Clément Méric était un provocateur et un agresseur. Madame Martin devrait méditer ces deux exemples et savoir que les mensonges et les appels à la haine dont elle est l’auteur se retourneront bientôt contre elle.
Jour de Colère rappelle que les motifs de colère des Français sont innombrables : gabegie publique, racket fiscal, incurie sécuritaire, ruine économique, perversion de l’éducation, atteinte aux libertés publiques… Tous les jours, les Français sont de plus en plus nombreux à souffrir de l’incompétence et de l’arrogance du gouvernement et de ses alliés politiques de gauche. Les cris d’orfraies de Madame Martin ne suffiront pas à masquer l’échec politique flagrant de la gauche dans tous ces domaines.
La seule solution, pour la France, est le départ de François Hollande et de sa clique !"