Lu ici :
"La Commission de contrôle de l'euthanasie n'a pas été renouvelée en raison du manque de candidats membres qui remplissent les conditions, rapporte lundi le journal Le Soir. Les mandats des membres de la Commission fédérale de contrôle et d'évaluation de l'application de la loi sur l'euthanasie ont expiré dimanche.
La Commission se compose de quatre professeurs de droit ou avocats, de quatre membres issus de milieux chargés de la prise en charge des patients atteints de maladies incurables et, surtout, de quatre médecins et de quatre "professeurs ordinaires" en médecine. Le tout doublé de suppléants, soit, au total, 32 personnes.
Ce sont en l'occurrence les professeurs en médecine qui posent problème. En effet, une seule candidature a été jugée recevable pour huit places vacantes (effectifs et suppléants).
En attendant son renouvellement, la Commission actuelle poursuivra son travail, comme un gouvernement "en affaires courantes"."
gabbrielle
Nicolas Bonnemaison est libre, pour l’instant et sans travail. L’interdiction d’exercer en France n’est peut-être pas valable pour la Belgique, qui sait?
Et puisque tant de spécialistes belges de l’euthanasie sont venus à Angers la semaine passée témoigner en sa faveur, que n’ont-ils pensé à lui proposer un poste?
Meltoisan
Et les membres de « la Commission de contrôle de l’euthanasie », ils sont contrôlés par qui ?
Quels sont les critères d’évaluation retenus ? Le nombre d’exécutions capitales hebdomadaire ? Autres par tranche d’âges ? …
stephe
Ils s’en moquent ! de toute façon ce n’est qu’une parodie de commission servant de paravent juridique aux agissements criminels de quelques uns, alors qu’ils soient un ou dix, cela leur importe peu.
kodiak
On peut lui donner des spécialistes : Kariger, Bonnemaison et tant d’autres !
Ce ne serait pas un cadeau pour les belges.
senex
C’est la commission spéciale appelée le Polit bourreau….Il n’y a pas que les mandats qui expirent en Belgique. …
stephe
Témoignages accablants contre le médecin tueur au procès bonnemaison (le mal nommé), qui demandera peut être asile à la Belgique.
“«Il a voulu parier un gâteau en disant que le lendemain, elle ne serait plus là. J’ai pris ça pour de l’humour déplacé», rapporte un autre infirmier, au sujet d’une autre malade, en effet décédée le jour d’après. «La perfusion était déclampée (ouverte, ndlr), le pansement adhésif soulevé, j’étais atterrée», relate une troisième, alertée par le signal sonore indiquant la mort de l’intéressée. «Je l’ai entendu dire: “Je m’en occupe personnellement, l’histoire n’a que trop duré”», rapporte encore une autre…”