Ici :
La Bibliothèque de Lyon St Jean hackée
5 commentaires
Publier une réponse
Vous devez avoir un compte pour publier un commentaire
Ici :
Vous devez avoir un compte pour publier un commentaire
Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.
Goupille
Cela ne manque pas de sel de voir ces assassins se réclamer des Droits de l’Homme pour justifier leurs exactions…
Nous règlerons nos comptes avec leurs complices, en pensée, en paroles, en actions, en omissions.
Goupille
Ajoutons qu’ils se traitent eux-mêmes de “ver noir”…
Si c’est eux-mêmes qui le disent…
Quelle islamophobie !
stephe
“stop the killing of muslims”
Phrase magnifique de folie furieuse car ces tueurs sont aujourd’hui les principaux assassins des musulmans qui leur déplaisent, mais globalement ils se retrouvent tous pour tuer du chrétien.
Y a t’il un psychiatre dans la salle?
Pierre René Mélon
Pitié, ô salon beige ! Epargne-nous les “hacké” et les “hackeurs” ! Parlons français, de grâce : piraté, piratage !
PK
@ Pierre René Mélon
Judicieuse remarque d’autant plus que le terme hacker est galvaudé…
Un hacker en informatique est un quelqu’un de très fort mais avec un potentiel bienveillant. Il mettra donc son savoir(-faire) au profit d’une cause juste (comme dans le logiciel libre).
Son pendant côté démon est le cracker. C’est aussi un gars très fort mais mettant son savoir-faire pour faire le mal (typiquement, entrer illégalement dans des systèmes informatiques pour les démolir).
Un hacker peut être embauché par un service d’État pour casser des systèmes « ennemis ». Il perd sans doute son titre de hacker à ce moment-là car il y a un problème d’éthique à travailler pour un État dont les buts sont souvent un peu obscurs.
Donc, pour en revenir à votre remarque, ce site a été « cracké » pour utiliser un néologisme anglais au mieux et plutôt attaqué pour parler en français.