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France : Politique en France

La citation cynique du jour

Elle est d'un proche de Nicolas Sarkozy, qui déclare dans le Monde à propos du discours sur l'économie qu'est en train de prononcer le chef de l'Etat à Toulon :

"L'idée est de faire accepter des abandons de souveraineté au profit de l'Europe, en mettant un peu de talc national"

C'est le méthode Sarkozy, éprouvée depuis 2007 : noyer les décisions honteuses sous des discours catégoriques.

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6 commentaires

  1. Les abandons sont déjà là : les responsables politiques qui sont chargés de protéger les intérêts de leurs ressortissants ont signé des traités sur la base de la “confiance mutuelle” avec leurs partenaires européens. Mais en matière de justice familiale l’Allemagne ne les respecte pas et retient sur son sol tout enfant bi national en cas de séparation des parents ; ceux-ci ne les revoient pas et doivent payer des pensions alimentaires exorbitantes… Il faut des mois de lutte de la part des victimes pour obtenir la légitime protection consulaire lors des audiences en Allemagne…Personne n’a envisagé le cas où un partenaire ne jouerait pas le jeu de l’Europe, on laisse un vide juridique qui prive les parents de leurs enfants ! cf. http://www.erwinetastrid.fr

  2. Ne nous leurrons pas:Sarkozy n’est que la mouche du coach Merkel….!Il s’agite ,mais les jeux sont faits.”Nous sommes tous des “Berliner”…

  3. En 2012, nous abandonnerons aussi notre “souverain”,et il n’y aura pas de talc dans les urnes !

  4. Nous bradons nos droits régaliens … la France est elle encore un pays au sens classique du mot ?

  5. Parmi tous les candidats, en est-il un qui propose de rompre l’asservissement de la France et de quitter l’OTAN ?

  6. Toulon II, ou le poison dans la confiture.
    …Le cirque de Toulon, payé bien sûr par le contribuable, où s’est produit un Sarközy lisant laborieusement et sans naturel un texte ni conçu ni rédigé par lui, n’est que cinéma et poudre aux yeux. Ce politicien, complètement discrédité, ne fait pas le poids pour mettre en œuvre les réformes nécessaires. On ne le croit plus, sauf ceux qui redoutent de tomber avec lui et font donc semblant : ce sont eux qui emplissaient la salle du Zénith.
    A Toulon, le bateleur a affecté de révéler ce que tous les gens informés savent depuis longtemps. Sa seule priorité réelle, c’est d’être réélu, puis, quoi qu’il arrive « après lui le déluge ».

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