On la doit au président tchèque, Vaclav Klaus, qui ne regrette pas la décision américaine de ne pas construire de bouclier antimissile dans son pays :
"Pour moi, la menace de l'Union soviétique, dans le passé, était énorme, parce que cela avait une influence sur ma vie chaque jour [mais] maintenant la menace venant de cette partie du monde est très, très petite".
La République tchèque a moins à craindre de la Russie que d'une Union européenne hyperrégulée, poursuit-il.
"Maintenant nous vivons dans une société beaucoup plus réglementée qu'il y a vingt ans, juste avant la chute du communisme".
"Est-ce que nous pourrons conserver notre identité en tant qu'Etat ? C'est pour moi un problème".
Pour nous aussi.
Sancenay
comme dirait ce bon vieux Milou à Tintin au pays des Soviets: “eh pan dans le mille!”
AncillaDomini
Haha. C’est vraiment à ce point-là ?
(j’avais 3 ans quand le mur de Berlin est tombé)