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Culture de mort : Avortement / L'Eglise : L'Eglise en France

La Conférence des évêques de France rappelle que l’avortement demeure une atteinte à la vie

La Conférence des évêques de France rappelle que l’avortement demeure une atteinte à la vie

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10 commentaires

  1. Pourquoi les Evèques ne condamnent pas chaque politichien qui vote cette loie, avec une ex-communication ?
    Pourquoi cette silence, pourquoi n’avez – vous pas eu l’idée de réparer la lâcheté et l’omission des Evèques en 1975,
    d’appeler les catholiques de l’époque, à manifester dans la rue massivement.

  2. La CEF aurait pu aussi rappeler que l’avortement est un crime et que le commettre est un péché mortel. Mais il est vrai que nos évêques n’osent plus rappeler la morale catholique avec un pape qui les tancerait pour leur “rigidité”, lui qui pense que l’Enfer est vide…

  3. Voilà nos courageux combattants de la 25° heure. Nous aurions aimé, et aurions même été fort surpris, qu’ils prennent position avant les débats. Courage fuyons !

  4. La tristesse de la CEF est consternante….
    Comme en 1975 après l’adoption de la loi VEIL….Toujours après!
    ….. Le manque de courage de nos évêques traverse les décennies (bien sur et heureusement, certains de nos évêques comme à Lyon ont prit position.)

  5. Une majorité de politiciens en place n’aurait donc pas constaté que les naissances se sont écroulées en France et que la solution de substitution est l’immigration, encore appelée grand remplacement !

    A suivre …

  6. La terre est en deuil, la terre dépérit,

    La terre est polluée sous ses habitants ;

    car ils ont transgressé les lois,

    passé outre à la règle,

    rompu l’alliance perpétuelle.

    Voilà pourquoi la malédiction a dévoré la terre,

    et ceux qui l’habitent subissent la peine,

    voilà pourquoi les habitants de la terre sont consumés…

    Isaïe 24

  7. C’est tout de même une déclaration bien molle,
    qui n’engage à rien, ne condamne rien ni les élus qui votent une telle décision, ni rien de rien. Pas de rappel de la doctrine sur ce point. Une déclaration de papier mâché.

  8. L’usage dans ce communiqué du très symptomatique “celles et ceux” macronien en dit plus que tout le reste sur l’adhésion de la CEF à l’esprit du monde gouverné par son prince.
    La CEF “apprend avec tristesse”, “elle regrette” mais elle ne condamne rien.
    Elle “sera attentive”, mais ne défendra rien.
    En croyant s’adapter au monde, elle est devenue un spectateur faible et passif et ne se considère même plus comme un acteur, comme une autorité morale.
    Pitoyable abandon sous le mauvais prétexte de ne froisser personne, et qui dans les faits ne convainc personne.
    La première des charités, celle qui mène au Salut, est l’unique Vérité, l’unique Chemin, l’unique Vie.
    Elle est passée par pertes et profits.
    Comment peuvent-ils encore se dire successeur des apôtres ?
    Quelle indignité !

  9. Qu’est ce qu’une “femme en situation de détresse” ? En lisant ce communiqué on a l’impression que “celles et ceux qui voudraient garder leur enfant” sont une minorité, alors que les “situations difficiles” excusent toutes les autres, qui sont une majorité, d’avorter. Mgr Rougé a dû se méfier de ses confrères mous du genou et a fait son propre communiqué un peu plus tonique.

  10. C’est aussi la “tristesse”, que suscite ce communiqué gnangnan (ou cucul, comme on voudra), dont la formulation envisage que l’IVG puisse être “vu sous l’angle du droit des femmes”. Si en politique on peut ne pas tout dire, dire le contraire de ce qu’on pense (car je n’ose pas penser que les évêques admettent une seconde que l’IVG puisse faire partie d’un droit des femmes ???) reste une grave erreur, voire une faute.

    Et le dernier paragraphe, “la CEF sera attentive”, etc, est vraiment vide de sens. La CEF aurait pu rappeler l’essentiel, c’est à dire la gravité de l’acte, et l’état de péché grave dans lequel se trouve tout catholique y consentant, ses consignes aux médecins non-collaborateurs, et ses consignes aux citoyens devenus les habitants d’un pays s’opposant frontalement à leur croyance, alors même que l’article 1 de la constitution de 58 prévoit le respect de toutes les croyances.

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